Elles ont besoin de vous
Amélie Crignon et Marion Lacascade comptent bien participer au prochain raid féminin Coeur d’Argan, organisé dans le désert marocain du 2 au 9 novembre 2024. La 11e édition de cette course d’orientation, organisée en 4x4 pendant huit jours, comptera quinze équipages. Audelà de l’aventure et du partage, le but de ce raid organisé par l’association Les Lyonnes de Tatooïne est de récolter des fonds pour améliorer la qualité de vie des femmes touchées par le cancer. À ce jour, plus de 265 000 € ont été récoltés.
Amélie et Marion formeront l’équipage Pink o 6e. Pink pour la couleur associée à la lutte contre le cancer féminin et « o 6e » parce qu’elles travaillent dans le même bâtiment au 6e étage. Amélie, 42 ans, de Saint-Prix, a perdu sa maman en 2007, qui se battait depuis plus de 8 ans contre le cancer. Elle a aussi accompagné sa meilleure amie Vanessa dans sa bataille contre le cancer du sein. Elle a participé à son premier raid d’Argan en 2015 avant de renouveler l’aventure en 2016 et 2017. Son amie Marion, d’Andrésy (Yvelines), a souhaité l’accompagner pour partager ce combat contre cette maladie.
Bientôt l’aventure !
Leur participation au raid nécessite la somme de 10 400 € dont 8 800€ d’inscription. Elles sont donc à la recherche de sponsors dont les dons seront versés sur le compte des Lyonnes de Tatooïne. L’association délivrera un reçu qui donne droit à une réduction fiscale (60% pour une entreprise, 66% pour les particuliers). En échange : stickers sur le véhicule, reportage photos, vidéo, citation du nom du partenaire sur les réseaux sociaux.
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« Nous demandons une prolongation d’un mois de la phase de consultation : il n’y a eu aucune réunion publique organisée dans le Val-d’Oise. »
« Consultation confidentielle »
Aux yeux de l’opposition municipale, ce texte « qui va impacter lourdement le quotidien des habitants » est trop important pour être « mis en consultation de façon à la fois complexe et confidentielle. »
Le collectif le juge ainsi « mal écrit (...) Les pastilles [qui] sont censées apporter des indications précises (...) par rapport à des opérations d’urbanisation (...) sont beaucoup trop approximatives et ne permettent pas de réellement prendre la mesure des opérations, de leur impact, de leur situation ».
En mars 2022, la Région Ilede-France dirigée par Valérie
Pécresse (Lr), a lancé la révision de son Schéma directeur qui détermine l’aménagement du territoire d’ici à 2040 pour les 12 millions de Franciliens qui y vivent.
Le projet a été arrêté le 12 juillet 2023. Selon la Région, le Sdrif-e a comme objectif « d’encadrer la croissance urbaine, l’utilisation de l’espace et la préservation des zones rurales et naturelles, de déterminer la localisation des grandes infrastructures de transports et des grands équipements, de favoriser le rayonnement international de la région. »
Mais pour le collectif tabernacien, ce document « constitue une erreur historique. Alors qu’il est urgent de freiner drastiquement l’artificialisation des sols, la Région Île-deFrance serait, si ce Sdrif-e était voté, la seule région métropolitaine à ne réduire que de 20% par décennie son rythme d’artificialisation, contre une baisse de 50% pour toutes les autres régions. Comment conserver une Île-de-France où il fait bon vivre, où on a envie de rester habiter, avec de tels choix et non-choix ? Le Val-d’Oise en est déjà victime