« Le bénévolat est un virus » INTERVIEW DéCALéE.
Pierre Montheillet a été l’inusable président du Comité d’athlétisme du 77. Le grand Pierre a posé les parpaings de la réussite avec méthode, habileté et une grande intelligence. L’un des plus grands dirigeants de notre département par sa vision saine du sport.
Un voyage qui a changé votre vie ?
Ils m’ont tous apporté quelque chose. Disons l’occasion d’une rencontre qui m’a ouvert un avenir que je ne pensais pas pour moi.
Cinq mots pour définir votre présidence à l’athlé 77 ?
Plaisir, amitié, dynamique, servir et équipe.
Que vous a apporté le bénévolat ?
C’est un virus, une rencontre avec les autres dans tous les milieux, pas seulement sportifs.
Vos endroits préférés dans le77 ?
Partout j’ai trouvé quelque chose pour des raisons différentes. C’est la France en miniature.
Dernier éclat de rire ?
En famille avec mes petits enfants.
Qu’écoutez-vous en voiture ?
Les infos, Nostalgie et MFM, les chansons françaises.
Les sportifs du 77 qui vous ont marqué ?
Ceux que j’y ai vu grandir et
qui y ont réussi : Yamna Oubouhou, Florian Carvalho et maintenant Rénelle Lamote.
Une cause à défendre ? Le bénévolat ou l’engagement vraiment désintéressé.
Quels sont les sportifs que vous n’aimez-pas ?
Ceux qui trichent et pas seulement avec le dopage.
Vos goûts musicaux ?
Chansons françaises et le rock de ma jeunesse. (Rire)
Sur une note de 1 à 10, comment se porte l’athlé du 77 ?
La note serait de 7 car il faut en laisser pour les successeurs.
Une odeur d’enfance ?
Celle que je peux toujours respirer librement : les embruns du bord de mer.
Vos loisirs préférés ?
À la retraite, tout est loisirs… profiter du bon temps.
Les sportifs que vous n’aimez-pas ?
Les anciens qui ont triché et qui se sont refait une virginité dans les médias.
Villes préférées ?
Celles que j’aurai aimé visiter… mais peut-être Barcelone.
Le sport est-il en danger ? La société évolue et le sport
Un plat préféré ?
J’aime tout et je suis raisonnablement gourmand.
Êtes-vous plutôt Audiard ou Spielberg ?
Avez-vous un rêve fou ?
Inaccessible, commeThomas Pesquet en apesanteur, ou vivre une grosse tempête en pleine mer. Pascal Pioppi