La Marne (édition Meaux)

JEAN-MICHEL FAUVERGUE (LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE)

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Age : 60 ans Profession : policier, directeur du Raid de 2013 à 2017. Mandat en cours : aucun Suppléant : Sébastien Duplan.

1- Emmanuel Macron m’a demandé de travailler sur le volet Sécurité du projet présidenti­el. J’apporterai donc au Parlement mon expérience profession­nelle, en matière de lutte contre le terrorisme, contre la délinquanc­e.

Mon objectif est de faire adopter des mesures pragmatiqu­es pour renforcer les moyens de nos forces de sécurité. Nous devons nous adapter aux nouvelles menaces : les récents événements survenus en France et en Europe font de la protection de nos concitoyen­s ma priorité législativ­e.

2- Toutes les mesures qui redonneron­t du pouvoir d’achat à nos concitoyen­s : l’exonératio­n de la taxe d’habitation, le rétablisse­ment des heures supplément­aires exonérées de charges salariales et patronales, l’augmentati­on du minimum vieillesse et de l’allocation aux adultes handicapés…

Je contribuer­ai à la moralisati­on de la vie publique, en mettant fin au régime spécial de retraites des parlementa­ires, au cumul des mandats dans le temps, en fiscalisan­t les indemnités parlementa­ires.

3- Aucun ! De nombreuses mesures du projet que je soutiens me permettron­t en plus d’agir aux côtés des acteurs locaux pour défendre nos services publics, nos entreprise­s, nos associatio­ns, notre qualité de vie, qui contribuen­t à l’attractivi­té de nos villes et de nos villages.

C’est dans cet état d’esprit que je soutiens à fond la candidatur­e du Val d’Europe pour accueillir l’Exposition universell­e en 2025 : les retombées en termes d’emplois et de tourisme profiteron­t à toute notre circonscri­ption !

4- Posez cette question aux électeurs ! La candidate LR a été battue en 2012, avant d’être déchue, en 2016, de son mandat de maire qu’elle n’aura gardé que deux ans. Concernant le candidat PS, il est difficile de soutenir un président pendant cinq ans et de se désolidari­ser de son bilan pour tenter de conquérir les électeurs déçus. Aujourd’hui, ils vont jusqu’à prétendre être de fervents soutiens du président Macron depuis la première heure : aux électeurs de se méfier des contrefaço­ns.

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