La Marne (édition Meaux)

« J’adore l’humour second degré » INTERVIEW DÉCALÉE.

-

Malgré son jeune âge, Aurore Lejeune suit depuis longtemps le basket handi de Meaux, comme préposée à la table de marque et maintenant comme dirigeante. Une vraie passionnée qui insuffle à l’équipe sa bonne humeur. Confidence­s.

Quel a été votre dernier voyage ?

Istanbul.

Que vous a enseigné le handi basket à haut niveau ?

La cohésion d’équipe, le dépassemen­t de soi, et que rien n’est acquis car les cartes sont redistribu­ées à chaque match.

Vous avez tenu longtemps la table de marque. Une marque de forte en maths ?

J’aurais tellement aimé être bonne en maths, malheureus­ement même les additions peuvent être compliquée­s. (Rire)

Plus beau moment du CS Meaux ?

La victoire après un match serré avec beaucoup de suspense à la clé.

Les cinq joueurs les plus amusants du CS Meaux ?

(Hésitation) Si je n’en dis que cinq, je vais avoir des problèmes… Ils sont tous marrants… à leur manière.

Quel est le principal trait de votre caractère ?

Excessive et passionnée, l’un ne va pas sans l’autre chez moi.

Le casting idéal d’un dîner chez vous ?

Laurent Baffie et Jeremy Ferrari pour le côté sniper et l’humour piquant, Vianney pour l’ambiance musicale, Philippe Etchebest car il faut bien manger, ma famille et mes amies proches. Un péché mignon ?

Question difficile ! Il varie selon mon humeur, mais actuelleme­nt les bonbons qui piquent sont mes amis.

Vos comiques préférés ?

Jeff Panacloc, Arnaud Tsamere, Nora Hamzawi, Mathieu Madenian, Eric Antoine… J’adore le second degré et l’humour piquant !

Vos goûts musicaux ?

C’est assez varié, même si j’avoue que mon penchant va plus vers l’électro quand même, certaineme­nt mes origines ch’timis qui ressortent. Vous gagnez 5 millions au loto, que faites-vous ?

Garder la même vie, continuer à travailler et profiter de petits (hésitation) et même en fait de gros plaisirs.

Une odeur d’enfance ? La tarte au sucre de mon

arrière-grand-mère. La dernière fois que vous avez pleuré ?

Je suis assez émotive, il m’arrive de pleurer lorsque la pression est trop haute.

Les sportifs que vous admirez le plus ?

Je n’ai pas de discipline particuliè­re qui me vient à l’esprit. Je suis sensible surtout aux sportifs engagés.

Le tiercé des joueurs ou entraîneur­s les plus fêtards ?

Joker, ce qui se passe en soirée reste en soirée.

Combien de points vous reste-t-il sur votre permis ?

Douze, eh oui, c’est possible.

Qu’a représenté Christian Roussel pour la jeune que vous êtes ?

Christian fut et restera un modèle pour moi, tant dans son implicatio­n et sa passion dans les projets qu’il a menés, sa sensibilit­é et par rapport à sa philosophi­e de vie.

« Ce qui se passe en soirée doit rester en soirée »

Qu’est-ce que vous aimez qu’on dise de vous ?

Que je suis quelqu’un de fidèle à ses conviction­s et qui profite de tout ce que la vie peut offrir.

Votre plus grande peur ? Etre oubliée.

Avez-vous un rêve fou ?

Mettre mon cerveau sur le mode pause ne serait-ce qu’une heure et ne penser à rien. Difficile pour mon caractère.

Pascal Pioppi

Newspapers in French

Newspapers from France