DIOR HORLOGERIE DIOR VIII GRAND BAL : ENVOÛTANTS TOURNOIEMENTS
QUATRE MODÈLES QUI CONTENT,
à TRAVERS LE JEU DES PIERRES PRÉCIEUSES, UN PRINTEMPS FIGÉ PAR LE GIVRE ; DEUX AUTRES QUI ÉVOQUENT à LA FOIS LE PLISSÉ SOLEIL
D’UNE ROBE HOLLYWOODIENNE ET LA BRILLANCE D’UN RUCHÉ DE SOIE…
Aujourd’hui, le bal est devenu une sorte de paradigme et sa simple évocation suggère des images communes à toute une génération. Ainsi, si le bal fait resurgir en nous une certaine littérature et des contes populaires, il nous renvoie également aux valses de Richard Strauss, dont le rythme rappelle le tic-tac des garde-temps mécaniques, et le tournoiement des robes de bal celui des masses oscillantes des montres Dior VIII Grand Bal. Le mouvement sur pas de deux est devenu un mythe fondateur, un rendez-vous galant où la danse se fait prétexte pour créer des unions. Christian Dior avait parfaitement saisi la portée de ce temps hors du temps, où les participants entendent donner d’eux-mêmes la meilleure image. Dans ce tourbillon de drapés et de brocarts, le quotidien s’efface pour ne retenir que le meilleur. Ainsi, le créateur disait : « Les fêtes ont ceci de nécessaire qu’elles apportent de la joie. » Cet esprit, Dior Horlogerie a voulu le transcender en volumes et en mouvements en créant, en 2011, la collection Dior VIII Grand Bal. Un hommage à une époque mais surtout à Monsieur Dior qui, comme invité à ces moments de fête mais aussi comme costumier, fut, au même titre que les célébrités qu’il habillait, l’un des acteurs les plus passionnants et les plus passionnés de ces grands bals du xxe siècle.
À l’heure d’une montre hors du temps
La collection Dior VIII Grand Bal exprime en volume toute la sensibilité du fondateur de la maison Dior pour les bals. Ces fêtes, comme autant de rendez-vous hors du temps, fascinaient ce grand couturier car elles réunissaient le goût de l’essentiel et ce besoin de futilité. À l’image de ses créations, chaque montre de la collection Dior VIII Grand Bal a pour ambition d’associer le meilleur de la mécanique à un mouvement presque perpétuel. Pour y parvenir, les Ateliers Horlogers Dior de La Chaux-de-fonds ont mis au point deux calibres mécaniques à remontage automatique, dont la masse oscillante n’est pas placée côté fond mais côté cadran. Ainsi, par un savant travail de finition de cet organe permettant de réarmer le ressort de barillet au gré des mouvements du poignet, il a été possible de créer un effet dynamique. Cette performance technique a ici pour dessein de servir un propos créatif, à savoir reproduire visuellement le tournoiement des robes de bals. Depuis, la maison Dior propose tous les ans, au sein de la ligne Dior VIII Grand Bal, une collection de haute horlogerie, riche de plusieurs propositions toutes plus magnifiques les unes que les autres et éditées, comme le sont les tenues de haute couture, en séries limitées ou en pièces uniques.
Donner des ailes à la mécanique
Dès ses débuts en 2011, la masse oscillante brevetée de la Dior VIII Grand Bal, au boîtier réalisé dans une céramique high-tech totalement inaltérable, présentait différentes finitions. Ainsi, la version « Plissé » valorisait les diamants sur fond de nacre, tandis que la version « Broderie » osait une résille sertie de diamants taille brillants. Ces deux premières pièces, proposées en 88 exemplaires chacune, ont lancé un style original que l’on sait répondre totalement aux désirs des femmes. En trois ans seulement, cet élément mobile figurant au cadran a été décliné en une infinité de variantes, démontrant la richesse créative des Ateliers Horlogers Dior. Ainsi, le rotor des différentes montres, proposées dans des boîtiers en céramique noire ou blanche, en céramique et or (38 ou 33 mm) ou, plus récemment, en acier ou en or rose (36 mm de diamètre), s’est paré, dès 2012, d’un magnifique drapé serti de diamants taille brillants. La même année, les Ateliers Horlogers Dior proposaient la montre Dior VIII Grand Bal « Plume » en édition limitée à 88 exemplaires