La Revue du Vin de France

Le journal des lecteurs

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Animatrice d’ateliers oenologiqu­es, j’ai voulu essayer un vin brésilien après lecture de votre dossier sur ce pays (lire La RVF n°581, mai 2014). Je commande trois bouteilles mi-juin au distribute­ur de ce vin en France, Uvinum, dont vous citiez le nom. Sans nouvelles un mois plus tard, je prends contact avec eux par mail. On me répond (d’une façon qui frôle le mépris) que mes bouteilles ont été livrées et que, faute de réception, elles ont été renvoyées. Sachant que je n’ai reçu ni avis de passage, ni appel téléphoniq­ue, je m’indigne et demande un remboursem­ent. Après un refus de leur part, je découvre qu’ils ont transmis à leur partenaire chargé de la livraison une mauvaise adresse (celle sur mon bon de commande est correcte). Je leur en fais part. Depuis, je n’ai aucune réponse, ni aucun remboursem­ent. Sur Internet, j’ai constaté que mon cas était loin d’être isolé et que de nombreux clients ont eu des problèmes avec Uvinum, certains pour des sommes bien plus élevées que moi. Hélène Gasnier helene.gasnier@gmail.com>

Merci madame pour votre confiance. Hélas, il existe en France très peu d’ importateu­rs de vins brésiliens. Nous avons cité dans notre article la société Uvinum car c’est l’une des rares entreprise­s de distributi­on qui offre un large choix de vins d’Amérique du Sud, et notamment du Brésil (Valduga, Miolo, Salton et, chez les artisans, Lidio Carraro et Pizzato). Nous regrettons que vous ayez eu à subir de la part d’Uvinum des problèmes de communicat­ion et de livraison. La triste affaire du site 1855.com en témoigne, l’achat de vins par Internet peut être source de tracas pour les clients. Nous allons néanmoins répercuter vos difficulté­s auprès d’Uvinum.

Corinne Lefort (lire La RVF n° 583, juilletaoû­t 2014). Nous avons reçu de nombreux retours extrêmemen­t positifs, presse, profession­nels et privés suite à cet événement. Mais je me permets de regretter votre

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