La Tribune de Lyon

La bonne idée

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« preuve de concept » « il est possible d’avoir une technologi­e permettant

L’associatio­n lyonnaise Odysseus 3.1 lutte pour la préservati­on de la nature et est surtout visible pour ses campagnes de nettoyage sous- marin, au lac de Meyzieu ou avec ses pêches hélas miraculeus­es de trottinett­es dans le Rhône ou la Saône. Mais l’asso intervient partout, et c’est d’une expédition au Léman qu’Odysseus 3.1 parle dans la BD éducative qu’elle vient de sortir, Les munitions du Léman.

Une cartograph­ie du lac, rempli de munitions, opérée en 2019 à 800 mètres sous l’eau.

Payapâte relocalise­ra sa production depuis l’Italie vers la région lyonnaise cette année.

Le détail du savoir- faire est confidenti­el,

Un projet d’étude clinique sur les tumeurs ORL, porté notamment par le centre Léon- Bérard ( Lyon 8e), vient de se voir attribuer 9,3 millions d’euros dans le cadre de l’appel à projets « Recherche hospitalo- universita­ire en santé » ( RHU) du Programme d’investisse­ments d’avenir ( PIA), dont l’opérateur est l’Agence nationale de la recherche. Le projet du Centre LéonBérard et de Gustave- Roussy à Villejuif vise à étudier plus profondéme­nt la relation entre réponse immunitair­e et radiothéra­pie. Ce projet LySAIRI va donc s’atteler à examiner deux manières de préserver et de booster la réponse immunitair­e dans les tumeurs de la tête et du cou, en organisant une étude qui inclura 460 patients de plusieurs centres de lutte contre le cancer.

Ces travaux de recherche translatio­nnelle ( entre recherche fondamenta­le et recherche clinique) vont se concentrer sur une meilleure sélection des volumes qui seront irradiés, seul le côté du cou avec la tumeur le sera, épargnant ainsi une partie du cou pour espérer maintenir la réponse immunitair­e. Autre piste de travail : injecter de l’interleuki­ne 15 ( IL- 15) qui a pour action d’augmenter le nombre et la fonction des lymphocyte­s impliqués dans la réponse immunitair­e. Trois entreprise­s innovantes ( PTC, TRIBVN et TheraPanac­ea) et trois centres universita­ires ( université Paris- Saclay, Inserm, Essec) participen­t aussi à ce projet.

 ?? ?? Et passera, d’ici 2025, d’une ligne de production à cinq pour atteindre les 50 millions de pailles produites par an. Un investisse­ment de 400 000 euros. et la conception de la ligne de production sur mesur également.
Mais le processus de fabricatio­n, notamment la pasteurisa­tion, permet de conserver la paille en l’état pendant 1 h 30 à 2 heures.
Et passera, d’ici 2025, d’une ligne de production à cinq pour atteindre les 50 millions de pailles produites par an. Un investisse­ment de 400 000 euros. et la conception de la ligne de production sur mesur également. Mais le processus de fabricatio­n, notamment la pasteurisa­tion, permet de conserver la paille en l’état pendant 1 h 30 à 2 heures.
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