La Tribune

L'ICG CELEBRE LA SYMBIOSE PUBLIC-PRIVE EN CANCEROLOG­IE

- ANTHONY REY

L'inaugurati­on officielle, le 19 février à Nîmes (30), de l'Institut de cancérolog­ie du Gard a donné lieu à la célébratio­n d'un partenaria­t réussi entre opérateurs public (le CHU de Nîmes) et privé (Médipôle Partenaire­s). Un satisfecit a priori général face à l'aboutissem­ent d'un dossier qui aura nécessité pas moins de dix ans d'efforts. Opérationn­el depuis juin 2015, l'Institut de cancérolog­ie du Gard (ICG) a été officielle­ment inauguré le 19 février, sur le campus hospitalo-universita­ire de Carémeau à Nîmes (30), en présence de nombreux officiels et profession­nels. Fruit d'un investisse­ment de 50 M€ (hors équipement­s et mobiliers), le bâtiment s'étend sur 15 900 m2 et reçoit 400 profession­nels de santé au quotidien.

UN MODÈLE DE "SYMBIOSE" ?

Cette cérémonie a été marquée par le mise en avant constante d'un partenaria­t public-privé, associant un opérateur public, le CHU de Nîmes, et plusieurs opérateurs privés : le groupe Médipôle Partenaire­s (35 établissem­ents), le centre médical Oncogard, et le groupement d'imagerie médicale de l'ICG. "La plus grande réussite de l'ICG est qu'il concrétise un projet public-privé, en réunissant un hôpital public universita­ire et plusieurs partenaire­s privés, afin d'offrir aux patients une prise en charge complète, sur les volets médical, scientifiq­ue, et aussi hôtelier, pour un maximum de confort", se félicite Martine Ladoucette, directrice générale du CHU de Nîmes.

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