ECONOMIE. 2017, année de la nouveauté au GIR
L’année 2017 débute sous le signe de la nouveauté au GIR, à commencer par la déléguée générale, Véronique Bellarbre, qui prend la succession d’Harris Bodard à la direction du groupe interprofessionnel de la Région Vallée de Seine.
Ancienne de la CCI, où elle a travaillé comme responsable de la formation, puis comme conseillère en création et reprise d’entreprise, elle a rejoint la communauté d’agglomération des Deux rives de Seine, en 2015, où elle a lancé « le comptoir de la créa » avant d’intégrer la communauté urbaine GPS&O, toujours comme spécialiste de l’accompagnement des entreprises.
Vendredi, lors du rendez-vous mensuel baptisé le 12-14 et organisé à Mantes-la-Jolie dans les locaux du groupement, elle a annoncé ses objectifs : « Renforcer les liens entre les adhérents du GIR et développer les opportunités de business grâce à de nouveaux outils de communication. Mais je n’ai pas de solutions toutes faites. Je serai à votre écoute », a-telle promis.
2017 sera une année très active au GIR. Le président Stéphane Windsor a résumé les projets qui verront le jour cette année. En premier lieu, le lancement d’une plateforme d’achats mutualisés. « Les achats sont un enjeu vital pour l’amélioration de la performance économique de nos sociétés. Le projet a pour but de massifier les achats pour avoir des conditions meilleures, mais aussi de développer le business entre les adhérents », a-t-il expliqué.
Une étude d’image du GIR sera également réalisée pour recueillir les attentes, les idées de chacun et confirmer les valeurs et les missions.
Le groupement interprofessionnel Vallée de Seine participera aussi au groupe de réflexion et d’échange pour préparer « cette formidable opportunité de développement économique que représente
l’arrivée d’Eole en 2024 ».
Emploi : plus de flexibilité
On notera enfin le projet de lancement d’une plateforme internet où les entrepreneurs pourront partager leurs ressources humaines. Une initiative en faveur de la flexibilité qui méritera d’être mûrement réfléchie, puisqu’il s’agira ni plus ni moins pour une entreprise qui aurait trop de moyens humains à un moment donné de mettre à disposition d’une autre qui en manquerait un ou plusieurs salariés, pendant un jour, une semaine, voire plus.
En conclusion de ce 12-14 sous forme de voeux, Stéphane Windsor a rappelé l’engagement sociétal des entreprises auprès d’associations et de structures comme Face 78, Valeurs et Culture, Rencontres pour l’égalité des chances, Mantes Espérance Banlieue, Blues sur Seine. « Des associations qui oeuvrent pour faire un territoire différent, plus accueillant avec des valeurs fortes d’intégration où il fait bon vivre et bon travailler ».
Développer les opportunités de business