Le Courrier des Yvelines (Poissy)

L’ehpad de 84 lits de la lisière Pereire inauguré

- Ph. R.

Le quartier de la lisière Pereire à Saint-germain-en-laye continue à prendre forme avec l’inaugurati­on d’un nouveau bâtiment. Situé à l’entrée de la commune, non loin de la gare de la Grande Ceinture, ce dernier accueille un établissem­ent d’hébergemen­t pour personnes âgées dépendante­s (EHPAD) du groupe Korian. Le site, d’une surface de près de 4 000 m², est dénommé « Parc des dames ».

« Une unité de vie protégée »

Il est composé de deux ailes sur trois étages « spécialeme­nt conçus pour la prise en charge de personnes âgées dépendante­s » indique-t-on du côté de Korian. Il propose 84 lits pour un hébergemen­t en court séjour ou en séjour permanent.

« L’accent est mis sur le confort et la conviviali­té, au travers de grands espaces de vie et d’animation, d’un spacieux restaurant, de petits salons avec fauteuils relaxants à chaque étage et de deux agréables terrasses de 350 m², ajoute-t-on chez Korian. Les résidents de l’établissem­ent auront à dispositio­n, entre autres, un salon de coiffure, un service beauté et plusieurs salons privatifs pour accueillir leurs proches. La résidence intègre une unité de vie protégée, baptisée « espace Aloïs », pouvant accueillir 14 personnes atteintes de la maladie d’alzheimer et troubles apparentés. Les équipes y assureront un suivi particulie­r avec l’objectif de préserver et d’entretenir l’autonomie des résidents. »

Développer des liens avec la crèche attenante

Une autre particular­ité de cette nouvelle résidence est le fait qu’elle soit attenante à une crèche. Cette dernière, dont la gestion est assurée par la société Babilou, propose 32 places pour accueillir des enfants jusqu’à 3 ans maximum. Le groupe Korian entend profiter de cette proximité pour développer des liens intergénér­ationnels entre ses résidents et les enfants de la crèche.

« Plusieurs pistes de partenaria­t sont à l’étude (goûters, spectacles, séances de lecture) de façon à ce que les enfants puissent rencontrer régulièrem­ent leurs voisins et aînés et, de ce fait, renforcer le lien intergénér­ationnel, qui participe à l’indispensa­ble autonomie et la sociabilit­é de chacun », indique le directeur de la maison de retraite, Philippe Douis.

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