Marie Lebec, la plus jeune des candidats En Marche !

Jeune, 26 ans, jolie comme un coeur, la tête bien faite et le verbe facile, la Louveciennoise Marie Lebec est la chouchoutte des médias dans cette campagne des législatives où elle tient le rôle de benjamine chez les marcheurs.

Au-delà des clivages

La candidate se présente sur la quatrième, qui couvre Carrières sur Seine, Chatou, Croissy sur Seine, Houilles, Marly-le-roi, Le Port-marly, Louveciennes, ville où la jeune femme réside. Marie Lebec, c’est un parcours politique qui commence en 2007, à 16 ans, sur la liste d’andré Vanhollebeke (centriste). « J’ai quitté le parti en 2012, lassée par trop de tensions internes, par le manque de volonté de travailler ensemble dans cette famille politique », confie telle.

Parcours d’ouverture déjà, Marie Lebec devient en 2014 attachée parlementaire du député des Vosges (4e circonscription) Christian Franqueville (PS). « Sur un certain nombre de points nous nous retrouvions avec des idées convergeantes. Ce poste d’attachée parlementaire était à l’image de ma vision de la politique. Je milite pour voir une Assemblée nationale qui puisse travailler au-delà des clivages, pour réunir dans une assemblée déchirée Républicains et Parti socialiste sur des textes bons pour la France, comme la loi Macron », assure Marie Lebec.

Marie Lebec milite pour une vision novatrice de la politique, citant ses origines chez les Républicains, ayant travaillé pour un député socialiste. « Emploi, solidarité, étaient des grands thèmes qui nous réunissaient. Je vois beaucoup de députés refuser de travailler ensemble par idéologie. Sur des sujets économiques, par exemple, cela n’a pas lieu d’être », martèle la candidate.

Marie Lebec a rejoint En Marche ! en avril 2016, créant un comité de soutien à Louveciennes. Titulaire d’un master en affaires publiques, la jeune femme voudrait s’atteler aux problèmes récurrents de transports sur l’ouest parisien, pour soulager les usagers et attirer davantage d’entreprises. « Je me retrouve aussi pleinement dans la volonté d’emmanuel Macron de simplifier les règles administratives, en particulier pour les entreprises, tout en gardant un niveau de protection élevé pour le personnel. »