CHRISTIAN BOURBON
Organisateur
Cette 21e édition se déroule un peu plus tard qu’à l’ordinaire. Pour quelles raisons ? Nous n’avions pas la possibilité de l’organiser les deux premiers week-ends de juillet, car de gros événements ont lieu à ce moment-là, notamment en Italie, à proximité du parcours que l’on emprunte. D’un point de vue logistique, cela n’était pas réalisable. D’où ce décalage à la mi-juillet. On note aussi que vous revenez à un format sur une seule journée. C’est une formule plus simple à organiser pour vous ? Oui, cela permet de concentrer les moyens de sécurité et les bénévoles sur une période de temps plus restreinte. C’est plus confortable pour nous, car ce n’est jamais simple de trouver et gérer 280 bénévoles. Comme grande nouveauté, on note l’ascension du colle delle Finestre, en Italie, avec notamment ses 8 km de piste dans la montée…
C’est ce qui nous a motivés cette année. Le Giro est passé sur ses pentes, et c’est un paysage fabuleux. Pouvoir proposer cette découverte à tous les cyclistes français, en profitant d’une route privatisée dans la montée et la descente, était la condition de base. C’est un vrai régal à découvrir, sachant, en plus, que les 8 km de piste ont été balayés pour le Giro. La Granfondo Serre-Chevalier, offre aussi de belles prestations. Que proposez-vous en plus des parcours ?
Nous offrons toujours avec l’inscription un maillot collector et, à l’arrivée, une paella géante, ainsi qu’un buffet campagnard qui permettra de se restaurer à satiété. C’est également l’occasion de revivre les bons moments de la journée.