Les temps forts de la montée
Sans jamais être extrême, cette ascension est assez soutenue et régulière jusqu’à Prélenfrey. Ensuite, il faut profiter de 2 km faciles avant un final qui redevient exigeant.
356 m Au sud de Vif, on quitte la RD 1075 au niveau d’un rondpoint pour débuter l’ascension sur l’avenue du Vercors (RD 8). De Genevray, jusqu’aux Saillants, puis La Ferrière et le hameau du Rivet, il faudra malgré tout rouler pendant 2 km pour sortir de cette zone densément bâtie de la commune du Gua. Prudence, la chaussée assez étroite et les nombreuses sorties de maisons réclament de l’attention.
608 m Après 4 km de grimpée, on entre dans le village de Saint-bathélémy. La rue montante à 7% vient buter sur un carrefour en face de l’église. On quitte ici la RD 8 qui poursuit en face en direction de Miribel-lanchâtre et Saintguillaume pour prendre à droite la RD 8b vers Prélenfrey/col de l’arzelier. On quitte ce village en traversant un plateau, puis rapidement la pente se redresse à 9%.
930 m Au Km 8, on rentre dans le village de Prélenfrey. En contre-haut,
la muraille calcaire du balcon Est est désormais bien visible. C’est assez raide et sinueux, puis au carrefour suivant (prudence priorité à droite), on oblique à gauche en direction de Monestier-de-clermont/col de l’arzelier. La suite sur 2 km s’avère assez facile car elle ne dépasse que rarement les 6%. On peut remettre du braquet ici ou au choix souffler un peu avant le final.
728 m Après une première épingle à gauche au Km 5, la rampe va être soutenue
jusqu’à ce nouveau virage à droite (9%). La pente se couche un peu dans la traversée suivante, mais juste avant d’attaquer une partie bordée par la falaise, elle bondit à nouveau avec un maximum relevé de 11%. Le ruban de bitume se joue ensuite du relief et devient plus sinueux. Bien qu’irrégulière, cette partie est exigeante en étant régulièrement au-delà des 10%.
1 154 m À l’approche du hameau de L’arzelier, la chaussée dessine deux
larges virages qui annoncent un changement de rythme. La pente va se redresser progressivement à 8-9% et ne faiblira pas jusqu’à l’arrivée. La route bordée de grandes pairies et de sapins devient complètement boisée dans les derniers mètres. On débouche alors sur une vaste esplanade goudronnée, parking vestige de la station de sport d’hiver du col et désormais fermée depuis 2019.