CARTES POSTALES DU MONDE
Les passagers de la 42e croisière aérienne, partie fin 2017, saluent unanimement l’organisation sans faille de TMR, ses escales passionnantes et espèrent tous repartir un jour.
« JE VOULAIS VÉRIFIER QUE LA TERRE ÉTAIT RONDE »
« Faire le tour de la planète, c’est le rêve de beaucoup de personnes », débute Fabien Perriollat qui a réalisé le sien fin 2017. Si, pour les croisiéristes, les motivations sont à peu près similaires, à savoir visiter des pays inconnus dans des conditions idéales, les siennes revêtaient une dimension poétique. « Je voulais vérifier que la terre était ronde », précise-t-il. « C’est un périple mythique, entrepris par de nombreux explorateurs ! L’avantage, c’est que nous avons pu le réaliser en 21 jours au lieu de 80 dans le roman de Jules Verne », s’amuse-t-il.
UN TOUR DU MONDE TOTALEMENT MAÎTRISÉ
M. et Mme Lesage ont parcouru plus de 160.000 km avec TMR. Fin 2017, ils ont bouclé leur 4e croisière aérienne. « Nous sommes partis en 2003, 2005, 2006 et 2017 », énumère M. Lesage. Cet « habitué » n’a pourtant rien perdu de son émerveillement. « Chaque voyage apporte un nouveau frisson ! C’est surtout grâce à l’organisation irréprochable de TMR », assure-t-il. Même constat pour M. et Mme Ambrosio, autres passagers de l’édition 2017. « Les vols n’excèdent jamais 8h30 et sont, pour la plupart, programmés en journée afin de nous épargner la fatigue d’un trajet de nuit. Quant à nos bagages, ils sont intégralement pris en charge tout comme les formalités. Nous avions juste à signer les fiches d’immigration pré-remplies à chaque arrivée », témoigne le couple.
UN NOUVEAU MONDE À CHAQUE ESCALE
« Pendant le vol qui reliait Mandalay, en Birmanie, à Samarcande en Ouzbékistan, l’avion a volé le long de la chaîne de l’Himalaya. 2 h d’un spectacle magique », se rappelle, encore ému, F. Perriollat. Dans son album souvenir, le couple Lesage collectionne, quant à lui, les images de ses expériences… « J’ai un souvenir très précis d’un vol en montgolfière au-dessus des temples de Bagan ou le survol des chutes d’Iguaçu en hélicoptère, il y a quelques années ». Pour M. Ambrosio, c’est une journée de rêve à Bora Bora « dans le lagon, avec les raies et les requins » qui restera gravée dans sa mémoire. Sous le charme de ce parcours hors normes, F. Perriollat a décidé, pour sa part, de « planter des arbres » dès que possible, en signe de reconnaissance. « Lorsque l’on a eu la chance d’admirer la beauté du monde, on ne peut qu’être soucieux de la préserver. »