SYNDICATS : UN SCANDALE D’UNE AMPLEUR INSOUPÇONNÉE
● Bravo au Figaro Magazine de soulever le voile sur les finances des syndicats et surtout de la CGT car nos médias (TV comprise) sont curieusement muets sur la gabegie incontrôlée, les ressources démesurées
[…]. Un fonds de commerce fabuleux qui finance la « lutte », celle qui consiste à démolir régulièrement notre économie et empoisonner la vie des vrais travailleurs payés au smic, ou moins (nos paysans, 700 € par mois). Ce qui est étonnant, c’est la passivité de nos concitoyens qui tolèrent ces comportements indignes d’une minorité… Lafayette
● Enfin ! Des journalistes se lèvent et parlent (écrivent) sur ce scandale d’Etat ! Quelle hypocrisie ! Ils font leur cinéma avec leurs moustaches, leurs merguez et leurs cheveux gras depuis des décennies, en bloquant le pays. Ils détestent les riches ? Mais non ! Ce sont eux les riches ! S.O.
● Si Macron détruit les syndicats comme il a détruit les partis politiques, la meilleure méthode est celle qui a neutralisé Al Capone : frapper au portefeuille. Et ce n’est pas le peuple qui pleurera. Arcusgi
Erratum : mal identifiée par l’agence de presse la diffusant, une des quatre photographies de Charles Maurras publiées la semaine dernière dans les pages Esprits libres du Figaro
Magazine représentait en fait l’écrivain et journaliste Alphonse de Châteaubriant.