ENTREZ DANS LE CLUB DES PROPRIÉTAIRES
Inlassable pionnier dans la création d’horizons et de bonheur, Club Med a développé des programmes immobiliers de prestige ouverts aux investisseurs particuliers via Club Med Property. À la clé, deux destinations dans les Alpes françaises, pour vivre ses vacances en toute sérénité…
Club Med, le spécialiste mondial de l’évasion touristique, se positionne comme le leader incontesté du all inclusive haut de gamme, proposant des vacances uniques, l’esprit libre et sans contraintes.
Pour prolonger cette expérience, Club Med Property a lancé un nouveau concept permettant de devenir propriétaire au sein de copropriétés de grand standing, sur des terrains mitoyens aux Resorts Club Med.
À l’île Maurice, les premières villas Club Med de La Plantation d’Albion voient le jour en 2010. Fort de son succès, ce concept a ensuite été étendu sur des sites de prestige dans les Alpes françaises.
Club Med assure la gestion locative et reverse des loyers à ses propriétaires bénéficiant aussi d’avantages fiscaux. Lors de leur séjour chez eux, ceux-ci profitent du « Tout Compris by Club Med » (encadrement des enfants dès 2 mois *, piscines, cours et forfaits de ski, restauration et bar…) et peuvent même passer leurs vacances dans d’autres Resorts Club Med à travers le monde : aux Seychelles, à Val-d’Isère…
On est un peu partout chez soi au Club Med.
DESTINATION INVESTISSEMENT SANS CONTRAINTES
Club Med Property vient de lancer à La Rosière, à 1 950 m d’altitude, la construction de son 4e programme immobilier alpin d’excellence, dont la livraison est prévue pour décembre 2023.
Situées au versant sud de la plus italienne des stations
françaises et au pied des pistes, les Suites-Appartements de La Rosière seront directement connectées au Resort, et séduiront couples et familles en quête d’intimité. De 2 à 3 pièces, de 51 à 91 m² pour 2 à 5 personnes (dès 599 000 € HT quatre semaines de vacances Club Med garanties).
Entièrement meublée, équipée et décorée, chacune disposera de balcons privatifs avec vue imprenable sur la vallée de la Tarentaise, d’un parking couvert, d’un local propriétaire, d’un accès au spa extérieur ainsi qu’à des services exclusifs et personnalisés (transferts, lounge privé, conciergerie…).
Une nouvelle phase de construction s’engage pour les Chalets de Grand Massif Samoëns Morillon, situés à 1 600 m
d’altitude, avec une vue panoramique à couper le souffle sur les plus beaux reliefs des Alpes et à seulement une heure quinze de Genève.
De 3 à 7 pièces, de 84 à 193 m2, jusqu’à 11 personnes, dès
890 000 € HT, les Chalets offrent des prestations similaires avec maître de chalet à disposition et la possibilité de séjourner durant la période d’intersaison lorsque le Resort Club Med est fermé. Quelques lots déjà existants demeurent encore
disponibles. C’est le moment d’investir dans le bonheur…
avec les maisons en première et deuxième couronne. Dans les monts d’Or, les belles bâtisses bourgeoises de plus de 200 m² avec un jardin se vendent entre 1 et 1,2 million d’euros, et le cap des 2 millions est atteint pour les grandes propriétés de charme avec piscine et vue dégagée. D’ici à la fin de l’année, le volume de ventes devrait continuer de baisser et les prix de se tasser de l’ordre de 2 à 5 %.
Où investir ? Le plafond de loyers des petites surfaces est bien plus faible que les tarifs de marché. Mieux vaut donc plutôt acheter un 3-pièces, il se louera facilement et comme ces biens sont nombreux à vendre dans certains secteurs, les abords de la Part-Dieu notamment, leur prix devrait décoter davantage que le reste du marché dans les mois à venir. Rentabilité moyenne : de 2,5 à 3,5 % brut dans l’ancien et dans les secteurs patrimoniaux.
Marseille le Marché reste sous tension avec des prix qui se stabilisent
Depuis le printemps, l’envolée rapide des tarifs, notamment à proximité de la mer a rendu les acquéreurs plus circonspects. Malgré tout, « un joli appartement en bon état, avec une vue dégagée et un extérieur se vend facilement, à condition que son prix soit cohérent », constate Lionel Bibas, directeur d’Era Marseille Prado.
Dans la ville, selon les notaires, il fallait compter à fin juin 2 880 €/m² pour un appartement et 385 000 € pour une maison,
soit des prix en hausse de 7,9 % et 4,2 %. Mais les disparités restent énormes. Le long de la corniche, à Endoume ou au Roucas-Blanc, le prix des grandes maisons de standing, avec vue, charme et petit terrain, dépasse les 10 000 €/m². Celles qui n’ont pas de vue, pas de jardin ou sont à rénover peinent à atteindre 7 000 €/m². Pour un bien plus classique de 140 m² avec un jardin de 80 m², le budget moyen oscille entre 1,1 et 1,2 million d’euros. Dans ces secteurs et dans le 8e voisin, les appartements haut de gamme se vendent entre 8 000 et 9 000€/m² à condition d’avoir une belle terrasse et d’être au dernier étage. À défaut, les prix baissent de 10 à 15 %. « Les acheteurs sont très raisonnables et aucune vente ne se réalise aux prix fantasmés par les propriétaires, d’autant que désormais l’offre est un peu plus importante », constate Pierre-Laurent Barneron, directeur d’Émile Garcin Marseille & Littoral. De l’autre côté de la colline de NotreDame de la Garde, comptez entre 3 500 € et 4 000 €/m² pour un logement ancien à Paradis et dans le vieux Castellane. À l’approche du palais de justice et du Vieux-Port, la cote grimpe, surtout celle des petites surfaces qui peuvent frôler les 5 500 €/m², en parfait état et avec du charme. Les autres logements dépassent rarement les 4 500 €/m². À Périer et aux abords du Prado, les appartements familiaux des années 1960 et 1970 trouvent preneur entre 4 000 et 4 500 €/m². Difficilement plus, vu la flambée de taxe foncière (+ 17,4 % entre 2021 et 2022). Plus au sud, à Sainte-Marguerite ou Mazargues, les grandes bastides de plus de 250 m² peinent aussi à se vendre, car elles sont proposées à plus de 6 000 €/m² alors que les acheteurs ont un budget maximal de 1,5 million, travaux inclus. Ils se reportent sur les quartiers plus centraux, comme Chave, Camas, Longchamp ou CinqAvenues, où les jolies maisons se négocient entre 800 000 et 1,2 million d’euros pour 150 à 180 m². Lorsqu’elles ne sont pas de standing, leur tarif tourne plutôt autour de 650 000 € et de 480 000 € si elles n’ont pas de jardin. Ces secteurs attirent aussi les amateurs d’appartements, ils valent entre 2 800 et 3 700 €/m² selon l’état et la surface. Des tarifs similaires à ceux du Panier et de la Joliette, où l’ancien se négocie entre 2 700 et 2 900 €/m² et le plus récent de 3 000 à 3 800 €/m². Aujourd’hui, les prix sont stables pour les logements de grande qualité dans les secteurs huppés, et commencent à baisser un peu pour les autres. « Même si la demande solvable se réduit, l’offre est encore rare, il ne risque donc pas d’y avoir un effondrement du marché dans les mois à venir », affirme Jean-Luc Lieutaud, président de
l’Unis Paca.
Où investir ? Les 2-pièces autour de l’hôpital de la Timone, à Baille et Sainte-Cécile, valent de 130 000 à 150 000 € et se louent autour de 600 €/mois à des étudiants. « Les actifs hospitaliers cherchent aussi à habiter le quartier, la demande locative est donc forte », précise Vanessa Ducros, directrice d’Orpi Top Immobilier. Sinon, préférez un 3-pièces dans une petite rue aux abords du cours Lieutaud, très animé et prisé des jeunes actifs. Il s’achètera autour de 3 000 €/m² et se louera environ 800 €/mois.
Rentabilité moyenne : de 5 à 6 % brut dans l’ancien et dans les secteurs sans risque.
RENNES
LÉGÈRE ACCALMIE APRÈS AVOIR FRISÉ LA SURCHAUFFE
Entre juin 2021 et juin 2022, les prix ont progressé de 9,7 % (à 3 720 €/m²) pour les appartements et bondi de 16,1 % pour les maisons au tarif médian de 511 000 €, selon les notaires. Depuis avril, la capitale bretonne vit un léger retournement de conjoncture et les prix stagnent. Désormais, seuls les logements en parfait état et peu énergivores se vendent en moins d’un mois, s’ils sont au prix de marché. À défaut, « les acquéreurs n’hésitent plus à négocier à la baisse et leurs propositions sont très cohérentes », remarque Christophe Poylo, directeur d’Orpi Aristide-Briand. En hypercentre, l’ancien vaut de 4 800 à 5 500 €/m² en parfait état ; seules les petites surfaces peuvent encore frôler 6 000 €/m². Dans les quartiers limitrophes, du Mail, d’Anatole-France ou de République, il faut débourser entre 4 600 et 5 000 €/m² pour devenir propriétaire. Des tarifs quasi équivalents à ceux des quartiers familiaux de Sévigné et Jeanne-d’Arc, où le budget moyen d’acquisition va de 3 500 à 4 000 €/m² pour un bien des années 1960 et entre 4 800 et 5 300 €/m² pour une construction de moins de 30 ans avec un extérieur. Dans l’Ouest rennais, desservi depuis peu par la deuxième ligne de métro, les jeunes actifs apprécient le calme du quartier de la Cité judiciaire. Un appartement dans une résidence des années 1990, avec parking et balcon, vaut entre 4 200 et 4 500 €/m². « À proximité de la Vilaine, à la Mabilais, les mêmes se négocient autour de 4 000 €/m², tandis qu’à l’approche de la rocade, dans le secteur de la Sagesse, les biens des années 1980 valent de 3 300 à 3 600 €/m² », confie Anne Vestu, directrice de LFI Rennes quartier ouest. Les mêmes tarifs se trouvent au nord-est de la ville, dans les verdoyants quartiers des Gayeulles et de Patton. Pour trouver moins cher, il faut viser le coeur de Cleunay, où le prix des logements à rafraîchir ne dépasse pas 3 000 €/m². Ou bien aller dans la ZUP Sud, où les 3 et 4-pièces dans les grandes constructions des années 1960 valent de 2 300 à 2 500 €/m².
Le prix des maisons, rarissimes à la vente, atteint des sommets partout dans la ville. Au début de l’été, une bâtisse des années 1950 de 60 m² avec 250 m² de jardin dans le vieux Cleunay s’est vendue 320 000 €, avec plus de 150 000 € de travaux. Dans le nord de la ville, trouver ce type de bien avec jardin à moins de 450 000 € relève de l’exploit. Au sud de la gare, à Sacrés-Coeurs, Sainte-Thérèse et cimetière de l’Est, les petites bâtisses des années 1930 à 1950 se négocient de 680 000 à 800 000 € selon leur état. Dans le très chic quartier du Thabor, les belles maisons bourgeoises de 200 m² avec un grand jardin valent de 1 à 1,2 million d’euros en bon état et avec un joli jardin. « Celles présentées plus cher peinent à trouver preneur, car les acquéreurs dotés d’un budget important se font plus rares », constate Claudine Mercier, directrice de LFI Sévigné. D’ici à la fin de l’année, le rythme de transactions va rester dynamique, avec des prix qui vont se stabiliser. Où investir ? Les petites surfaces dans le centre dépassent 5 000 €/m². Pour conserver de la rentabilité, achetez un grand studio ou un 2-pièces en péricentre, à Saint-Martin, Beaulieu, Sud-Gare, Cleunay ou Anatole-France. À proximité du métro, le logement se louera entre 400 et 500 €/mois pour un studio et de 620 à 720 €/mois pour un 2-pièces. Rentabilité moyenne : de 3,5 à 4 % brut dans l’ancien et dans le centre ou le péricentre.