François Cluzet, braconnier au grand coeur en Sologne
L’aventurier médiatique Nicolas Vanier signe une fiction dans la Sologne de son enfance, un film soutenu par la Fédération des chasseurs.
En 1930, Paul, un enfant qui n’a jamais connu que les hauts murs de son orphelinat parisien est confié à un couple de la campagne : Célestine, une femme joyeuse, et son mari Borel, garde-chasse un peu raide d’un vaste domaine en Sologne… L’enfant rencontre bientôt un sympathique braconnier, et découvre l’existence d’un lourd secret qui pèse sur le domaine.
3 choses à savoir
1 : Nicolas Vanier, du grand Nord à la Sologne. Né au Sénégal, passionné par le Grand Nord où il a fait plusieurs expéditions, l’aventurier médiatique Nicolas Vanier revient dans la région de son enfance, la Sologne, pour son nouveau film. Longtemps cantonné dans le cinéma documentaire, Nicolas Vanier réalise depuis une dizaine d’années des fictions qui soulignent la beauté de la nature. C’était le cas pour son Belle et Sébastien, ça l’est aussi pour L’École buissonnière. 2 : François Cluzet, toujours juste. Nicolas Vannier réunit un beau casting autour du jeune Jean Scandel, dans le rôle du petit Paul : Eric Elmosnino dans le rôle du gardechasse, François Berléand dans celui du comte, et surtout François Cluzet qui interprète le garde-chasse derrière sa barbe fournie. Depuis le thriller Ne le dis à personne en 2006, l’acteur est devenu l’un des préférés des spectateurs français, enchaînant les grandes interprétations, toujours juste quel que soit le registre. 3 : les chasseurs accompagnent le film. L’École buissonnière bénéficie d’une campagne de promotion quasiment sans précédent, que l’on doit à la Fédération Nationale de Chasse. La FNC a organisé de nombreuses avant-premières en France pour ce film qui présente une image positive de la chasse loisirs.