Le Journal d'Abbeville

Eric Carré fait Chevalier de l’Ordre national du mérite

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Depuis le mois de septembre 2023, une nouvelle équipe a pris les rênes du judo club de Nouvion avec le secret espoir de relancer les activités, mais également d’apporter des nouveautés.

Ambiance conviviale

Le samedi 10 février, le club organisait son premier loto dans la salle de la gaité où cent quarante-quatre accrocs à ce jeu de hasard se sont donné rendezvous avec l’espoir de remporter l’un des nombreux lots proposés.

Une première qui a satisfait le nouveau comité directeur qui comptait parmi les participan­ts un tiers des licenciés du club et quelques joueurs venus du club voisin d’Abbeville.

Alors que la tension montait au fil des tirages, l’ambiance était toujours aussi conviviale avec le combiné réfrigérat­eurcongéla­teur remporté par Gaëtan Billard, l’aspirateur robot gagné par Angélique Radlinski, le balai vapeur était remporté par Quentin Vandenamee­le, la TV étant gagnée par M.Boucart et les lunettes de soleil par Mme Wadoux.

En 1963, le Général de Gaulle crée la Légion d’honneur. Au rang des distinctio­ns nationales apparaît au second rang, le titre de Chevalier de l’Ordre national du mérite. C’est la médaille qui a été remise à Eric Carrière pour l’ensemble de sa carrière passée en gendarmeri­e. Quarantede­ux années de service de la Nation qui l’ont conduit dans le monde entier. Afghanista­n, Côte d’Ivoire, Algérie, Nouvelle-Calédonie, Guyane, Guadeloupe… qui méritaient cette récompense.

Déjà plusieurs médailles militaires

« C’est la reconnaiss­ance de ma carrière, confie le militaire. J’avais déjà reçu plusieurs médailles militaires ».

Aujourd’hui réserviste opérationn­el l’été, Eric Carré a été médaillé par Michel de Cafarelli, déjà détenteur de la Légion d’honneur.

« C’est un honneur pour moi d’être médaillé par cette personne, assure Eric Carré. Nous nous sommes rencontrés lors d’une opération extérieure en 2004 ».

« Je suis très content d’être son parrain » enchaîne Michel de Cafarelli, qui a, entre autres, était garde du corps d’ambassadeu­r français à l’étranger. « C’est une marque d’amitié et de confiance. C’est rare qu’un sous-officier reçoive ce le titre de Chevalier de l’Ordre national du mérite. »

Vincent BENY-THOREUX

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