5 EXPOSITIONS À DÉCOUVRIR
au Carmel : « Faune et flore, entre science, poésie et décor ». Peintures, estampes, arts décoratifs… L’exposition met en lumière les espèces animales et végétales qui n’ont cessé d’inspirer les artistes. Aux côtés de spécimens naturalisés, collectés au XIXe siècle par des voyageurs, l’exposition aborde aussi la naissance de la botanique en tant que discipline autonome, et souligne l’importance des arts graphiques dans la diffusion du savoir scientifique à cette époque.
• CARMELL-MAISON PATRIMOINE, 34/36 CAPUCINS ABBE
DU 14 18 1ER, 8 9
ENTRÉE
ÀPippa Darbyshire en « bleu de Baie », à l’école de Ponthoile
Artiste écossaise, installée en Baie de Somme depuis plus de vingt ans, Pippa Darbyshire expose jusqu’au 26 mai dans l’ancienne école de Ponthoile. Elle y présente les nombreuses toiles qu’elle a peintes ces derniers mois. On y retrouve son style très reconnaissable : des variations de bleus pour retrouver l’atmosphère de cette baie qu’elle aime tant.
• ANCIENNE PONTHOILE,
19 15
Le centre Vignacourt 14/18 s’expose à Amiens
Une exposition baptisée « Vignacourt 14/18, l’arrière-front dans la Grande Guerre » est à découvrir jusqu’au 12 mai, à l’office de tourisme d’Amiens. Elle est consacrée au centre d’interprétation créé à Vignacourt autour de la riche collection de photographies prises par un couple de villageois durant la Première Guerre mondiale, alors que Vignacourt servait de lieu de repos pour les soldats.
• OFFICE 23
NOTRE-DAME,
Un spécialiste de l’assemblage à Saint-Riquier
Spécialiste de l’assemblage, en digne héritier d’Arcimboldo
(le célèbre auteur des portraits en fruits et légumes), l’artiste plasticien Bernard Plas présente ses oeuvres dans le beau cadre de l’abbaye de Saint-Riquier. Son exposition « Désillusions Optiques » est à découvrir jusqu’au 2 juin.
• ABBAYE SAINT-RIQUIER —
4 € 2 €). RENSEIGNEMENTS
ENTRÉE : 03 60 03 44 70.
Les tempes grisonnantes, le visage légèrement plus grave… Christophe Willem porte beau sa toute jeune quarantaine, qu’il arbore sans faux-semblants alors qu’il fait son grand retour, après cinq ans d’absence. Cinq ans : c’est le temps qu’il a fallu à l’ancien candidat de la Nouvelle Star (c’était il y a dix-sept ans) pour se ressourcer et retrouver l’inspiration.
Depuis la Nouvelle Star, je n’avais jamais eu d’arrêt… J’étais en mode pilote automatique.
Son précédent album, Rio, n’avait pas obtenu l’accueil escompté. Son nouvel opus, Panorama, sorti il y a quelques mois, a permis à Christophe Willem de renouer avec le succès. Succès confirmé par les premières dates de sa nouvelle tournée, dont beaucoup affichent complet.
Ce n’est pas encore le cas au Cirque Jules Verne d’Amiens, où Christophe Willem est attendu dans quelques jours. Mais ça l’était à Toulouse, son « fief », où il s’est confié à nos confrères d’Actu Toulouse sur sa longue absence… «J’ai eu besoin de me poser pour plein de raisons, explique-t-il. L’album précédent, Rio, n’avait pas trop marché j’avais donc besoin de faire le point et de me retrouver. »
Christohe Willem continue. « La période du confinement a rendu mon arrêt forcé, mais ça a été finalement assez salutaire car j’avais besoin de faire une pause dans ma carrière. Depuis la Nouvelle Star, je n’avais jamais eu d’arrêt… j’étais en mode pilote automatique. Cette pause m’a permis de me poser pas mal de questions sur le sens de ce métier, la manière de le faire et les collaborations que je voulais faire. »
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CHRISTOPHE WILLEM