Le Journal à 2 €, cette semaine
L’ouverture du village du Vendée Globe, samedi, marque le top départ de trois semaines très spéciales pour toute la Vendée. Trois semaines qui vont s’achever en apothéose le 6 novembre, jour du grand départ. Trois semaines pendant lesquelles la Vendée va attirer l’attention de toute la France, et même du monde entier. Un rendez-vous très attendu qui n’a lieu que tous les quatre ans, et que beaucoup de Vendéens ne rateraient pour rien au monde.
C’est pourquoi cette semaine, et comme en 2012, nous vous proposons un supplément de 40 pages consacré au Vendée Globe avec votre journal. Le portrait des skippers, les enjeux de la course, toutes les infos pratiques pour mieux suivre l’événement, le programme des animations aux Sables-d’Olonne. Avec nous, vous ne loupez rien !
C’est pour cette raison qu’exceptionnellement, le prix de votre journal avec son supplément sera cette semaine de 2 €.
Merci de votre fidélité.
La finale mondiale des Ironman, disputée à Hawaï, a été remportée, pour la deuxième année consécutive, par l’Allemand Jan Frodeno en 8 h 06’30, le champion olympique de Pékin. Le meilleur Français, Cyril Viennot, termine 18e en 8 h 34’50. Un Yonnais était dans la course. Sébastien Genty de La Roche Vendée Triathlon a bouclé sa deuxième finale à Hawaï, après celle de 2015, en 10 h 59’27. Il avait annoncé : « Je peux faire mieux, j’espère avoir appris de ma première expérience. Les conditions seront également prépondérantes dans la performance ». Mais le chrono de 2015, 10 h 41’21, restera pour l’instant sa référence sur l’archipel hawaïen.
« Je n’avais pas les jambes à vélo »
Que s’est-il passé ? Il avait pourtant bien commencé en natation : « J’ai gagné 9 minutes par rapport à 2015, malgré la houle (1 h 16’49) ». Puis la machine s’est enrayée très vite. Trop vite : « Je n’avais pas de jambes à vélo, pas moyen de sortir ma puissance cible, malgré une attention particulière à l’hydratation et à l’alimentation. Je n’ai pas réussi à rentrer dans cet état de quasi-transe que je connais habituellement, où les kilomètres s’enchaînent, sans même s’en rendre compte… » Et pourtant… Il a fait moins chaud : « 30 degrés contre 40 l’année dernière, et le vent était raisonnable ».