La révolte lucquoise ?

Aizenay (11e) Orvault 2 (7e)

François Brianceau : « On allait à La Haie-Fouassière pour glaner nos quatre premiers points (4-1). Et je reste persuadé que si nous n’avions pas été réduits à dix, lors des quarantecinq premières minutes, nous aurions pu y prétendre. Mais nous avons été menés 2-0 et, malgré une réduction du score et surtout de grosses opportunités de revenir à hauteur de notre adversaire, nous avons craqué et encaissé deux nouveaux buts. Malgré notre classement (11e, 4 points), l’ambiance est bonne et l’assiduité à l’entraînement très correcte. Il ne nous manque plus que ce premier succès en championnat pour lancer la machine. Nous faisons de très bonnes choses, mais on doit encore progresser côté concentration. Ce sera le principal discours avant la rencontre face à Orvault. Une victoire viendrait récompenser notre abnégation ». Samedi 29 octobre à 20 h, stade municipal.

Les Lucs (12e) Vieillevigne (5e)

Eric Thibaud : « Le début de championnat est compliqué. Avec trois défaites en trois matchs, on ne peut pas dire le contraire. A notre décharge, notre secteur défensif a dû être repensé à cause des blessures de joueurs cadres. On ne se cache pas derrière ça, mais trouver des automatismes prend du temps. La défaite à Brétignolles (3-1) a mis en exergue nos lacunes. J’ai beaucoup apprécié la réaction des garçons en coupe de Vendée (2-1 contre Coëx), mais on ne peut pas s’arrêter là. On ne doit plus être dans le constat, mais dans l’action et la réaction désormais. Je sais que les garçons en sont conscients, puisque j’ai vu des signes de mobilisation, dimanche dernier. Contre Vieillevigne, c’est une révolte collective qui doit avoir lieu. Pour rebondir et lancer l’opération maintien ». Dimanche 30 octobre à 15 h, parc des sports des Noiselières. Propos recueillis par notre correspondant C.P.