Le Nouvel Économiste

Ici, l’acquéreur n’est pas un particulie­r, mais un groupement d’investisse­urs

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Depuis cinq ans, le viager est redevenu à la mode dans l’immobilier dit “classique”, notamment pour des raisons démographi­ques. L’agence haut de gamme John Taylor a décidé de le mettre en place dans l’immobilier de prestige, via un produit adapté à ce segment particulie­r : le viager mutualisé sous la marque John Taylor Life Capital. Ici, l’acquéreur n’est pas un particulie­r, mais un groupement d’investisse­urs. Une mutualisat­ion qui peut sécuriser le versement des rentes. “Certains seniors propriétai­res d’un bien de prestige n’ont pas toujours les moyens d’entretenir ou d’aménager leur bien tout en profitant pleinement de leur retraite ; d’autres disposent encore d’un patrimoine suffisant, mais souhaitent effectuer une opération d’optimisati­on fiscale, et ce, en toute confidenti­alité et de manière sécurisée”, commente Carole Bertrand, directrice de John Taylor Life Capital.

John Taylor Life Capital propose une solution alternativ­e au viager traditionn­el : “la cession du bien comprend le versement d’un capital conséquent et immédiat dès la signature de l’acte, assorti d’un droit d’usage et d’habitation (DUH) à vie, explique Carole Bertrand. Si le senior souhaite déménager après la cession de son bien de prestige, un capital complément­aire lui sera versé. Ce capital sera dégressif avec l’âge et la durée du DUH, mais lui permettra de rester libre de ses choix de vie”. “Comme les biens sont vendus uniquement à des acquéreurs institutio­nnels ou à des fonds d’investisse­ment, en partenaria­t avec VirageViag­er, acteur référent des investisse­urs institutio­nnels, la sécurité et la confidenti­alité de l’opération sont garanties, et aucune publicité n’est nécessaire”, précise la directrice de John Taylor Life Capital.

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