Le Pays Briard

Le leader se reprend, Coulommier­s malmené

Toujours en tête, Ozoir - Val d’Europe a dominé Viry-Châtillon samedi, Coulommier­s a été dépassé en Alsace.

- BASKET (N3). FOOTBALL. RUGBY (F3).

Un sentiment de tristesse après le score de Coulommier­s, 98-55 en Alsace. Comment ce club qui a été plusieurs saisons en Nationale 2 a pu en arriver à un point aussi dramatique. Car si le miracle reste possible, les probabilit­és se réduisent pour le maintien.

Les trois prochains matchs se joueront à domicile, toute défaite est interdite à commencer par Paris 14 dimanche prochain en rencontre en retard. Le seul salut, finir à 9 victoires, ce qui passe par un 5 sur 5 à domicile et un succès à Sainte-Marieaux-Chênes. Contre le WOSB, l’espoir s’est éteint après le 1812, 40-27 au repos puis 69 à 34 ! Un improbable 29-7, sans défense, impossible d’espérer quoi que ce soit.

Seule maigre consolatio­n, tous les clubs devant pour le maintien se sont inclinés, Coulommier­s pourrait être relégué si le club ne se reprend pas dimanche.

Ozoir - Val d’Europe assure à domicile

Invaincu dans sa salle, l’entente Ozoir - Val d’Europe a pris le dessus progressiv­ement sur Viry-Châtillon samedi. Un résultat logique et important puisque Furdenheim s’est imposé à Metz B. Schirrhein poursuit son infernal parcours, 3 victoires en 20 matchs. Pas de match le week-end à venir sauf

Coulommier­s contre Paris 14, dimanche 17 mars à 15h30. Les briards auront besoin de soutien pour revenir un peu sur Nancy et Metz B (6 succès) et Viry-Châtillon (7 succès).

Salle de Montévrain, l’entente bat Viry-Châtillon, 9174 (48-40). Marqueurs : Robert (19 points), Allouda (13), Casseus (12), Daoussou (12), Lombilo (9), Magbotiade (9), Capelle (7), Bajeux (5), Guerekoyaz­oa (4), Lavergne (1).

Deux semaines après son excellent chrono de 2h28’48’’réalisé le 18 février dernier sur le marathon de Séville, et qui constitue désormais sa meilleure performanc­e personnell­e, Anaïs Quemener (La Meute Running), le 3 mars, sur les 21,1 km de Paris, a de nouveau fait parler la poudre.

En effet, pas de jambes lourdes pour la Seine-et-Marnaise. Il est vrai qu’il est plus simple lors d’un enchaîneme­nt, tant physiqueme­nt que mentalemen­t, de réaliser la distance courte après la longue. Néanmoins, ce schéma nécessite de retrouver de la vitesse dans l’intervalle, et Quemener en avait en magasin. Résultat, une place de 6e féminine, sur une course dense et relevée, un parcours bouclé en 1h11’54’’, et un record personnel battu de trois secondes. Beau travail !

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