« La Gazette de Dinard »
Pendant plusieurs semaines, nous avons choisi de présenter les différents acteurs de la communication à Dinard. Les blogs, les pages Facebook et les sites autour de la ville se sont multipliés ces derniers mois, témoignant de l’émoi, de l’intérêt et des préoccupations des dinardais aujourd’hui. 10 questions sont posées à chacun, les mêmes. Cette semaine Erick Onnée de la « Gazette de Dinard » nous répond.
ou aveuglément partisanes me semblent dangereuses.
Qu’attendez-vous de la majorité en place ?
Ne pas savoir, ni savoir-faire n’est pas une honte. Ne pas être à la hauteur de la tâche n’est pas une faiblesse si on sait alors s’entourer des bonnes personnes, et à Dinard elles sont nombreuses. Encore faut-il le reconnaître, faire confiance aux agents en place, aux professionnels compétents, écouter les gens et les respecter, pas seulement par de belles paroles mais par des actes, une fois la bonne personne mise à la bonne place. Mais que peuton attendre d’individus qui n’agissent que par rancoeur, par jalousie ? Qu’attendre d’élus qui confondent servir et se servir ?… Rien, si ce n’est suivre le chemin de ceux qui ont déjà eu le courage de ne plus soutenir cette majorité !
Pensez-vous être suffisamment actif et réactif ?
Ce sont les lecteurs qui nous guident. Les outils d’aujourd’hui sont performants mais terribles aussi ! Les compliments comme les sanctions sont immédiats ; si vous ne plaisez pas, la critique est acerbe et les commentaires piquants, c’est le jeu. La Gazette de Dinard va évoluer encore un peu plus à la rentrée. C’est déjà un site web, une page Facebook, des comptes Twitter et Instagram et une chaîne You Tube. Nous allons rendre l’ensemble plus homogène et surtout développer la part vidéo, avec encore plus de live, plus d’interviews, des hebdomadaires et toujours et avant tout, donner la parole aux gens et les faire partager un maximum.
Pensez-vous être indispensable dans le paysage communiquant dinardais ?
Personne n’est indispensable. Ce qui est certain, c’est que la vie publique locale devra désormais compter avec les « nouveaux moyens de communication » comme on les appelle encore, près de 30 ans après l’explosion d’Internet. Et dans ce contexte, avec plus de 2 400 membres,