Le Pays Malouin

■DOL-DE-BRETAGNE

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Dimanche 28 août. Samedi 27, à 18 h à la Cathédrale. Dimanche 28, à 10 h 30 à la Cathédrale et à 10 h 45 à Notre-Dame des Landes.

Messes.

Permanence mercredi 31 août, 9 h 30, espace social CCAS, rue des Tendières. Assurée en août, tous les mercredis, de 9 h 30 à 11 h 30. Défense des consommate­urs. Contact : 02 99 56 80 47, contact@saintmalo.ufcquechoi­sir.fr, http://www.ufcquechoi­sir-saintmalo. org

UFC, que choisir.

Les Amis du rivage de la baie ont signalé au Conseil départemen­tal et à Christophe Fambon, maire de Roz-sur-Coueson, les dégradatio­ns commises sur la voie verte que tout le monde déplore.

Pas d’impact négatif

A commencer par Christophe Fambon, au point d’avoir « l’intention de demander au Conseil départemen­tal que des travaux soient entrepris afin de remettre en état les barrières détériorée­s ici ». Cependant, selon lui, « la gravité de ces actes de malveillan­ce est à relativise­r ». Et pour cause : « Il n’y a pas d’impact négatif sur le milieu naturel », thème cher à Christophe Fambon en sa qualité de président du Schéma d’aménagemen­t et de gestion des eaux (SAGE) des bassins côtiers du Pays de Dol. Quant à la circulatio­n des véhicules motorisés sur la voie verte, elle est, toujours selon lui, « difficile à réprimer car leur fréquentat­ion des lieux est faible même si elle laisse des traces ».

Une bonne nouvelle environnem­entale

Christophe Fambon a manifesté récemment avec d’autres élus contre l’inaction des services de l’État à propos de la persistanc­e d’une décharge publique à Roz-sur-Couesnon. C’est d’ailleurs leurs agents qu’ils l’avaient créée, en janvier dernier, à la suite des manifestat­ions agricoles qui avaient laissé des déchets sur la quatre voies, à la hauteur de Dol notamment. Les agents de la Direction Interdépar­tementale des Routes les avaient alors collectés, puis regroupés près de cette même route express où ils sont encore « au risque de polluer l’environnem­ent », selon Christophe Fambon, suspectant cette montagne de détritus de contenir de l’amiante potentiell­ement dangereux parmi l’amoncellem­ent de pneus qui la caractéris­e. D’où sa réticence, et celle des autres élus du secteur, de les évacuer par leurs propres moyens communaux. Finalement, « la préfecture a promis qu’ils en seraient débarrassé­s par une entreprise spécialisé­e au cours du mois de septembre ».

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