Les conséquences du déclin et les erreurs de gestion
André Huguet candidat libre à l’élection municipale communique
Election municipale de mars 2020. Afin de construire un programme nouveau, il faut analyser l’action du maire sortant, pour ne pas répéter les mêmes erreurs. La baisse constante de fréquentation du musée de la préhistoire, a eu un impact direct sur l’activité commerciale. - Nombreuses fermetures de commerces et d’activités touristiques. - Pertes d’emplois - Perte de valeurs des fonds de commerce - Perte de valeurs des logements, maisons d’habitations QUE MANQUE T’IL A TAUTAVEL ? - un médecin - deux restaurants : “l’os à la bouche” et “L’Esmorzar” (fermeture définitive) - “Le temps Jadis” “les sirops de Marco” (fermeture définitive) - un camping - une aire de campings-cars - la poste ... - un maire dynamique et visionnaire Pour une revitalisation d’un village en milieu rural le F.T* président de l’association des maires ne donne pas le bon exemple : - eau à la limite de la potabilité (nombreuses alertes) - réseau d’égouts obsolète - un pont dangereux pour le passage des piétons. - des rues sales, sans fleurissement - il manque 500 habitants supplémentaires (le dernier recensement est en baisse)... - Refus du F.T* de la prise de gestion par le conseil régional et le conseil général pour des raisons bassement matérielles (2004 à 2019 = 15 ans perdus) - Refus du permis de construire du complexe camping caravaning, projet porté par Serge RAFART en 1988. L’emplacement se situait au pied de la falaise derrière la cave des maitres vignerons de Tautavel : classé zone inondable ! Cherchez l’erreur ! Le petit train et sa disparition programmée par la commune de Tautavel - Licenciements de deux employées du musée s’étant présentées sur une liste d’opposition au maire sortant. Coût pour le contribuable 100.000 Euros, à déduire un don de 35.000€ du vice président de la communauté du Rivesaltais. Il reste donc 65.000€ à rembourser à la commune de Tautavel * F.T. : le Fossoyeur de Tautavel. (voir article précédent) A suivre : une ambiance délétère, une démocrature, promesses non tenues.