Première année cahotique pour Johnson
Des élections, le Brexit et le coronavirus… Pour sa année enfoncpremière tion, le Premier ministre britannique, Boris a essuyé bien desdéson, fis avec plus ou moins de succès.
Malgré, ou peut-être à un style degougrâce vernance bien différent de sa prédécésseuse, Theresa May, Johnson porte une majorité conservatrice au ment, jamais vue depuis Margaret Thatcher, lors des élections générales de décembre. Après trois ans de chaos politique, cord sur la sortie de l'Union européenne est enfin voté et le Brexit est entériné le 31 janvier
Mais la vague de succès redescend vite avec vée du etBocoronavirus ris Johnson tarde à réagir. Lors d'une conférence de presse, le 3 mars, le mier ministre ironise sur le sujet : « J'étais en visite dans un hôpital, l'autre soir, où il y avait quelques patients atteints du navirus et vous serez ravis d'apprendre que j'ai serré la main à tout le monde et que je continuerai à le faire. Le plus important, selon les scientifiques, c'est de bien se laver les mains ». Un mois plus tard, Boris Johnson était hospitalisé, atteint par le Covid-19, en soins sifs, entre la vie et la mort.
Aujourd'hui, le comptabiRoyaume-Uni lise le plus grand nombre de victimes du rus en Europe, avec plus de 45 000 décès.
Cette première année a donc été plus compliquée que prévu pour Boris Johnson, mais tout de même égayée par la sance de son fils, avec sa future épouse, Carrie monds.
L'avenir, lui, ne nonce pas plus simple : la crise économique guette le pays. L'Union du Royaume-Uni est en péril avec un gouvernement écossais de plus en plus insistant sur la tenue d'un nouveau référendum pour l'indépendance du pays. Enfin, le Brexit, lui, est toujours prévu au 31 décembre. Mais, avec des négociations qui peinent à avancer.