Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne
Projection-débat
Dans The Ghosts in Our Machine, le spectateur suit le travail de la photographe canadienne Jo-anne Mc Arthur. Ses photos intimistes nous invitent à voir les animaux en véritables individus.
Le travail de cette photographe est là pour nous sensibiliser aux conditions de vie, de souffrances (que je met intentionnellement au pluriel)...d’êtres vivants sensibles exploités pour la seule consommation humaine...
Un film nécessaire pour inspirer une réflexion profonde et durable à un public diversifié du monde entier.un film nécessaire pour ôter «ã€€ enfin  » les oeillères des humains.
Ce documentaire montre la dure réalité qu’on nous cache si bien, l’émotion de voir de très rares individus qui ont été sauvés mais surtout le pouvoir des photos et la difficulté de les faire...
The Ghosts in Our Machine a remporté le Prix du meilleur Documentaire Nature / Environnement au Festival du film de Yorkton, ainsi que le Prix du Public au Hot Docs du Festival International du Documentaire Canadien
Une fois le documentaire vu, et il faut le voir, nous nous rendons compte que nous n’avons pas l’ombre d’une solution...certes il n’est pas fait pour ça.
Certains pensent que la seule solution est de tous devenir des végans, d’autres qu’il faut respecter l’animal pendant sa vie et faire en sorte qu’il ne connaisse pas la souffrance même pour mourir, et ceux qui ne veulent rien changer, qui ne se sentent pas concernés  !...
Mais nous sommes tous concernés et il faudra bien trouver une solution pour empêcher la souffrance animale.
Pour autant la dénonciation d’une population complice et donc coupable, la culpabilisation des gens rendus responsables de l’héritage culturel qu’on leur a transmis sont des démarches qui ne servent en aucun cas la cause animale.
Chaque fois qu’un carniste est l’ennemi d’un végan/végétalien/végétarien ou un végan/végétalien/végétarien l’ennemi d’un carniste la cause recule...respect, discussion, compréhension seraient sûrement plus constructifs...(à suivre)
Voici quelques repères lexicaux  :
Végétarien : Ne consomme pas de chaire animale ni aucun sous-produit de l’abattage des animaux comme la gélatine (Ceux qui consomment du poisson sont appelés Pescétariens).
Végétalien : Personne consommant uniquement des végétaux (donc ni lait, ni miel).
Végan : Personne ne consommant aucun produit obtenu par l’exploitation animale (élevage ou test sur animaux), que ce soit de la nourriture, des vêtements (cuir, laine...), des produits cosmétiques, fumier, lisier etc...
Fléxitarien : ce mot nouveau désigne une personne ayant un régime essentiellement végétarien ou végétalien mais qui pour diverses raisons (souvent sociales) s’accorde des dérogations ponctuelles.
Carniste : Individu qui consomme de la viande.
C’était la 8e édition des «journées du sauvetage» qui avait lieu dans une cinquantaine d’autres piscines reparties dans toute la France.
Cette opération avait pour but la sensibilisation du public au sauvetage et à la sécurité en milieu aquatique.
Véritable enjeu de santé publique qu’en on sait que plus de 1500 noyades dont environ 500 mortelles sont comptabilisées chaque année dans notre pays.
Plusieurs animations avaient donc lieu ce weekend à l’espace aquatique Quercy’o sur le sauvetage avec M Kestelyn, directeur, et les gestes de 1er secours avec les pompiers de Caussade.
Des ateliers qui ont connu une bonne fréquentation, surtout par les plus jeunes très intéressés par ces apprentissages.