Le Petit Journal - L'hebdo du Pays Toulousain

Culture Festival de lecture à haute voix

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Le festival de lecture à haute voix du Dimanche a débuté par le «coup de coeur de Gladys», membre de la commission culture. Elle a fait un clin d’oeil à Jean-Jacques Rouch pour son livre «Jean Le Cagot».

Le journalist­e et écrivain sensible au thème toujours actuel de l’exclusion, aborde cette destinée historique des cagots. C’est surtout des romans d’histoires qu’il aimait nous raconter. Ses romans historique­s sont empreints de cette douceur de vivre et des histoires du pays, auxquelles il était toujours attentif. Deux d’entre eux, le Maître du Safran et les Yeux d’Izarn affichent fièrement leurs racines bruniquela­ises. Son style précis, simple, vivant et plein d’humanité, est le reflet indéniable de ce qu’était Jean-Jacques. Pour ma part»j’ai beaucoup aimé « Les fiancés de Bordenave ». Une évocation intéressan­te de l’Ariège et de Toulouse sous l’occupation allemande. « Si Jean-Jacques Rouch vivait dans la région depuis une quarantain­e d’années et s’il n’a jamais rompu les liens avec son joli village de l’Ariège, tel l’ouvrage « les montreurs d’ours », c’est sans doute en raison de cet amour si profond pour ses racines qu’il écrit sur les Pyrénées et la résistance.» évoque Claude, un Unionnais qui aimait le rencontrer au Chateâu de Malpagat. Et ce sont les rencontres avec ses fidèles lecteurs, comme il Gladys présente Jean Le Cagot au château de Malpagat aimait à le dire, qui le poussait organisée. Tel un beau tableau à continuer à écrire. ,qu’ il a composé avec

Après avoir publié de nombreux tous ces cris, souffrance­s, tir ouvrages, l’auteur évoquait d’obus, privation, pain noir, dans son dernier roman entraide, partage, dans son «Les fiancés de Bordenave roman si bien écrit. Il a sans » le siège de Toulouse doute rejoint les héros de ce par les soldats et la résistance son roman à Bruniquel.

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