Le Petit Journal - L'hebdo du Pays Toulousain

Aurélien Pradié dévoile ses mesures

Transports en Occitanie :

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que la LGV BorAlors deaux-Toulouse est au coeur des discussion­s en matière de transports dans la région, Aurélien Pradié, candidat Les Républicai­ns à la présidence de nie, rappelle que si elle est prioritair­e, elle ne doit pas évincer les autres sujets liés à la mobilité. Le député du Lot appelle ainsi à une politique de intranspor­ts novante. Il notamenten­d ment créer un Fonds vestisseme­nt régional pour les routes et faire de tanie la région-capitale de l’avion propre.

Si voilà trois semaines, le Premier Ministre a promis une contributi­on de l’Etat pour la LGV

Toulouse, ce sont des ranties etdéfinife­rmes tives que lecandeman­de didat Les Républicai­ns à la présidence de l’Occitanie. « La Région ne peut pas se contenter de déclaratio­ns d’intention sur la LGV. Dès notre arrivée aux sabilités, nous exigerons du gouverneme­nt qu’il prenne un fiengageme­nt nancier ferme. Les sommes annoncées ne sont queviraujo­urd’hui tuelles. Elles n’obligent cun gouverneme­nt présent ou à venir. RéD’autres gions ont pris de l’avance sur nous. Il est temps de passer aux actes » affirme Aurélien Pradié pour qui les transports du quotidien ont tout autant la priorité. Ainsi il prévoit de tripler les pénalités appliquées à la SNCF en cas de retards. « Les 700.000 depéeuros nalités ne sont aujourd’hui pas dissuasuff­isamment sives au regard des 300 millions investis anchaque née par la Région pour soutenir les lignes nales » explique-t-il. En l’occurrence, il souhaite conditionn­er les sements de la région à la réalisatio­n, par la SNCF, d’un rapport annuel pact, avec les chiffres de la fréquentat­ion et de la ponctualit­é qui sera remis à chaque abonné. De la même façon le candidat compte communique­r chaque semaine sur les tards de TER pour faire pression sur la SNCF et fuser le démantèlem­ent des petites lignes. Pour améliorer la sécurité dans les transports en commun régionaux, il prévoit par ailleurs le déploiemen­t systématis­é de la tection, tout comme création d’une police gionale des transports, qui permettra notamment de lutter contre la fraude. Concernant le réseau routier, Aurélien anPradié nonce que la Occirégion tanie investira 200 millions d’euros pour aider chaque départemen­t à réaliser un aménagemen­t routier tégique au cours du dat. Les projets la gement devront être sentés avant juin 2022 et les entreprise­s régionales seront mobilisées pour porter ces innovation­s qui devront être respectueu­ses de l’environnem­ent. « Dans le revêtement des routes, nous exigerons l’utilisatio­n de matériaux plus durables, biosourcés et recyclable­s, ainsi que la réalisatio­n ments etantianti-bruit pollution » précise-t-il. Priorité sera donnée au covoiturag­e et aux véhicules « verts » dans les politiques régionales. Quant enaux treprises qui contribuer­ont au denoufinan­cement velles bornes sur leur parking, en zone rique, elles verront leurs subvention­s majorées. Enfin, pour faire de citanie une plusacrégi­on cessible et plus attractive, Aurélien Pradié entend mener une politique de sauvegarde des aéroports régionaux, indispensa­bles à l’économie locale et au tourisme. « Je veux faire de l’Occitanie la tale de l’avion propre en défendant un paquet gré expord’innovation­s table à toutes les grandes régions internatio­nales » affirme-t-il.

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