Maison du jardinier, les travaux progresse

S’agissant de la maison du jardinier, les travaux avancent à la vitesse grand V. Souhaitons et espérons tout à la fois, qu’elle soit achevée au plus tard à la fin de l’automne.

Ce travailleur désire, et c’est son droit qu’on le prénomme Sydney. Cet artisan, ou plutôt artiste maçon, car dans artisan il y a artiste, est un authentique ch’ti. Il est pour être précis natif de Beauvais, rien à voir avec Sydney, ni avec Poitiers... Il est très sympa, jovial, il aime ce qu’il fait et réalise un beau travail. Il faut l’empiler notre régionale brique foraine baptisée violette pour ce qui concerne les bâtis de piliers ou cheminées. Elle n’est pas épaisse, mais cela en fait des manipulations et par conséquent de la manutention. Ça monte, ça monte, joliment mais plus lentement qu’avec des moellons.

La maison du jardinier adossée à l’orangerie comprenait une métairie et une étable, le jardinier ne manquait pas de besogne car il s’employait également au verger ainsi qu’au potager, sous la direction de notre génie des eaux.

Accoter perpendiculairement à l’orangerie cette maison du jardinier servira au stockage de matériel, mais aussi à la préparation et à l’organisation des futures locations, festivités, réunions, séminaires, symposium, conférences ou colloques, sans oublier des concerts ou encore des expositions. Sa destination en sera donc changée mais le labeur n’en sera pas moindre.

Une vue parmi d’autres de la maison du jardinier

Sydney en pleine canicule, il fait 37° sous abri il ne se plaint pas et ajoute qu’il est habitué