La Foire de la Saint-Luc était attendue

Après deux années «blanches» en raison de la crise sanitaire, la traditionnelle Foire de la Saint-Luc était attendue par ses habitués. Des températures douces et mêmes estivales ont favorisé la venue des visiteurs impatients de flâner dans les rues de la Ville. Comme à l’accoutumée , le marché du samedi matin était maintenu sous la Halle , les commerçants locaux déballaient devant leur pas de porte et les exposants occasionnels de la Foire occupaient eux aussi les rues adjacentes de la Halle comme la République et Gambetta. On y retrouvait des vêtements, bijoux, plantes, les fameux «bonimenteurs» de Foire et leur démonstrations , des chaussures , mais aussi des traiteurs et autres stands de gourmandises sucrées comme salées. Sur le quai de Garonne , les manèges attendaient durant tout le weekend les enfants.

Au coin de la rue Gambetta , un pépiniériste-artiste vous accroche avec sa belle verve , et au coin de la rue République, c’est un vendeur de chiffon en bambou qui vante les atouts miracles de son produit. Sur les allées, les concessionnaires locaux présentaient les derniers modèles de véhicules.

Si effectivement comme le regrettent certains, les étals ne proposent plus la variété de produits d’une époque désormais révolue, l’esprit de la Foire de la Saint-Luc est tout de même là et a connu une belle affluence en fin de matinée et en milieu d’après-midi.

La remorque de Martine, fidèle à la Saint-Luc depuis des années : crêpes, gaufres et churros sont à tomber par terre

Au «Zinzins du Zinc» ou bien à la Buvette juste à côté , on prend un petit café tout en écoutant de la musique en live

Devant la librairie du Grand Selve, Aurélie a accueilli une maison d’édition du Tarn et Garonne

Sur les allées, les divers concessionnaires de la Ville

Rue Gambetta en début de matinée