Le Petit Journal - L'hebdo du Pays Toulousain
Aurélien Pradié à la rencontre des jeunes Républicains
Vendredi 25 novembre, le député du Lot et candidat à la présidence du parti de droite (LR), Aurélien Pradié a rencontré les jeunes militants Républicains à Toulouse.
Vers 8h30, Aurélien Pradié a donné rendez-vous aux jeunes militants républicains et adhérents, dans la brasserie des Illustres à Toulouse. Il a commencé par remercier toutes celles et ceux qui se sont investis dans la campagne depuis deux mois. “On a commencé en pensant que ce serait compliqué”, avoue-t-il. “Ce que je vois sur le terrain c’est qu’il y a une surprise qui se prépare, car les adhérents en ont assez. Ils veulent que leur famille politique soit à la hauteur des autres partis politiques”. Dans le café, environ une dizaine de jeunes et quelques adhérents ont fait le déplacement pour écouter et soutenir le député du Lot.
Parmi ses engagements, “les sujets qu’on ne parle plus” : l’écologie, le défi de l’eau. Mais aussi, l’éducation, la question des salaires et des violences conjugales et intrafamiliales.
“Demain il faut qu’on redevienne des conquérants” Avec sa candidature pour accéder à la présidence Des Républicains, Aurélien Pradié veut effacer l’image de “la droite qui fait des colloques dans les salles parisiennes, et qui ne réunit que des électeurs de droite, ça n’avance pas. Demain, il faut qu’on redevienne des conquérants”. Pour cela, il souhaite une droite capable de parler à “tous les habitants, peu importe leur parti politique”. Devant ses militants, il donne comme exemple la gauche, qui, selon lui, est “en train de disparaître. Nous, si on ne se réveille pas, on suit le même chemin”, alarme-t-il “Nous allons voir les gens qui ne votent pas”
Afin de faire la différence face à Eric Ciotti et Bruno Retailleau
lors de l’élection du président des Républicains, Aurélien Pradié demande à ses militants de reprendre le phonique, mais aussi, de “faire voter les vraies gens, les gens qui ne votent pas”. Il le répète : “Il ne faut pas qu’on [la droite] sorte du radar des Français”. Et pour cela, selon lui, la droite a besoin de “quelqu’un de nouveau”, termine-t-il.