Le Petit Journal - L’hebdo local de l’Ariège
Google Pixel 7, une version réussie
Fort du succès du Pixel 6, qui reposait sur la première puce maison de Google, la firme de Mountain View sort le Pixel 7, une évolution réussie.
Le Pixel 7 voit son design évoluer à la marge. On appréciera, ou pas, le module photo ostensiblement proéminent, qui est ici affiné. Google arrondit les angles et casse le côté monolithique du précédent opus. La certification IP68 est toujours en vigueur. L’ensemble est ici plus léger (197 g contre 207 g) et l’écran occupe désormais 85 % de la façade. Le lecteur d’empreinte, récalcitrant sur le Pixel 6, a été ici amélioré. La reconnaissance des visages est désormais de rigueur. On regrette l’absence de port microsd qui étendrait le stockage de 128 ou 256 Go. Le Wifi 6E, le Bluetooth 5.2 et le NFC sont de rigueur. L’écran est une dalle 6,3 pouces Full HD+ (2 400 x 1 080 pixels) d’une résolution de 416 pp à 90 Hz et fait partie des meilleurs élèves du marché. La nouvelle puce Tensor 2 est associée à 8 Go de RAM. Il ne faut pas s’attendre à des différences brutes avec la première génération, mais la gestion de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage profond a été grandement peaufinée. Dans tous les cas, vendu à partir de 649 €, le Pixel 7 écrase ses concurrents à ce niveau de prix. C’est toujours du côté de la photo que le Pixel 7 fait la différence, avec son module principal de 50 Mpx et son module grand-angle de 12 Mpx. Couplé à la puce Tensor, le dispositif fait des merveilles, même de nuit. Reste l’autonomie, un peu à la traîne, plombée par une recharge relativement lente. Sans ce petit point noir, le Pixel 7 aurait fait un sans-faute.