Assemblée générale de L’UDAC

Dans son rapport moral, le président, Jacques Defourneaux, rappelait que L’UDAC compte 63 adhérents, 18 participant aux cours d’occitan, avec Camille Biac comme professeur et 35 à l’atelier danses traditionnelles, animé par André et Maryvonne Pons. Concernant le site luimême, vieillissant, il a été vandalisé (vols minimes et matériel abimé) mais demeure entrenu, tant par les bénévoles que par Vincent de Seynes. Au niveau des animations, une pièce de théâtre et un bal ont été organisés, ainsi qu’un loto, pour lequel il faudra plus d’investissement de la part des bénévoles. Il convient, pour ces manifestations, de créer un groupe chargé de leur promotion. Après deux ans de Covid, l’udac est également un lien social important. Pour ce qui est du rapport d’activité, l’atelier Occitan comporte deux niveaux (débutants et confirmés) et l’atelier danses connait toujours le même angoûment. On note également une sortie commune à Montégut Plantaurel et la participation à la dailhade. De plus, le site internet de l’udac est toujours actualisé et Georges Soula, figure emblématique de l’association et fondateur de celle-ci, poursuit son travail d’historien. Enfin, malgré des finances très saines (plus de 15 000 euros en caisse), la question de rejouer le spectacle qui fit les grandes heures de l’udac est évoquée ; tous convenant que le site est trop dégradé et qu’il faudrait mobiliser beaucoup d’énergies, tant humaines que physiques, il est acté que « le spectacle tel qu’il a été n’existera plus».

- Crédits : BL Les bénévoles

- Crédits : BL Le bureau de L’UDAC