Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aude
NI……NI…!…ET…NI……NI……NI…!
La formule du «Ni … NI !» a été rendue célèbre par un homme politique des années 1960/70: Mr Lecanuet. Il a immortalisé le «Ni … Ni!» en déclarant : «Je ne suis Ni Pour, Ni Contre … bien au contraire!»
Hollande a repris la formule dans sa stratégie politicienne lors de la campagne des Présidentielles 2012 pour conquérir le «trône» de l’ Élysée. Il a orienté sa campagne sur 2 axes: la démagogie des promesses non tenues, le « NI Sakozy, Ni Le Pen». La majorité des électeurs ne voulant ni de Le Pen, ni de Sarkozy. Hollande a été élu par défaut ... Élu, il a expérimenté la politique du «Ni … NI … Ni »! Une Politique «Ni Socialiste … Ni de Gauche … Ni conforme aux Promesses.»
Cette Formule si elle était modifiée ainsi: «Ni Sarkozy, Ni Le Pen, Ni Hollande!» pourrait aider les français à sauver leur Pays en 2017 lors des présidentielles.
Tous les «autres», comme ils l’ont fait autour des gaullistes, des communistes, des vrais socialistes, en 1945, pourraient convenir que pour l’instant, les conditions ne sont pas réunies pour mettre fin au capitalisme. Mais que comme en 1945, on peut le maîtriser, le museler, le réguler. Il s’agit de contrôler que chacun, sala- rié (salaire) , État (impôts), Sécurité Sociale (cotisations), Actionnaires (dividende), PDG (salaire), reçoivent leur dû, mais rien que leur dû. C’est à la Loi Citoyenne et non à la loi du marché de définir les droits et les revenus de chacun dans l’entreprise et la contribution de l’entreprise à la Société. Pourquoi sommesnous passés de l’équilibre social du Programme du Conseil National de la République, à l’acceptation des dérives qui nous ont conduites à la Crise sociale, économique, morale et institutionnelle actuelle? Tout simplement parce que trop d’élus surtout du « P.S» et de la «droite sociale» qui auraient dû veiller au grain, ont préféré défendre les intérêts de leur parti ou de leur statut d’ élu plutôt que l’intérêt général !
Les Institutions de la IVE et de la Ve Républiques basées sur la Démocratie Représentative donnent un Pouvoir absolu aux Élus, sans aucun contrôle Citoyen entre deux élections. Pour sortir de cet impasse en 2017, deux conditions, instituer : - la 6e République -la Démocratie Citoyenne Participative qui permettrait de contrôler en permanence, voire de révoquer les élus en cours de mandat, en cas de faute grave.