Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aude
Sous la plume de Louis
Poète Saissagais
La richesse
La poésie est si fragile Qu’un mot grossier peut la blesser.
Voilà pourquoi poètes
Ont peur de souffrir.
Mais que trop discrète?
Le prix d’un d’enfant
Ou la valeur d’une caresse
Que l’on avoir envie.
Mon Dieu, si je comptais la vaut-elle sourire fait, certains faire sans mes poèmes,
Je serais riche et malheureux,
Car la richesse qu’un leurre
Ceux qui le sont ont toujours peur.
Pauvres du que j’adore
Méfiez-vous du d’argent,
Sachez l’ivresse
D’être riches comme Crésus!
Louis Ruiz « L’enfant venu d’ailleurs » lutter n’est monde trop contre