Attention, piqûres sauvages au collège Jules Verne

La vague de piqûres sauvages, qui a défrayé la chronique cet été suite à des attaques à la seringue en discothèque et lors de rassemblements festifs, semble avoir inspiré certains individus mal intentionnés. Le problème cette fois, c’est que les piqûres ont eu lieu dans la cour de récréation du collège Jules Verne.

Les délinquants, qui ont réussi à agir sans être pris sur le vif, contrairement aux victimes qui ont, elles, été piquées au vif, sont activement recherchés par le personnel de l’établissement. Au total, 7 élèves ont été piqués à l’aide d’une punaise ou d’une aiguille, provoquant rougeurs et démangeaisons.

Ils ont immédiatement été conduits aux urgences où un prélèvement sanguin a été réalisé afin de vérifier qu’aucune substance nocive n’avait été inoculée. Les élèves sont priés d’être vigilants et d’ouvrir l’oeil sur leurs camarades.

Mais dans quel monde vit-on ! Le problème, il est clair, provient du manque d’éducation. Si au sein de l’école nationale, où l’on apprend le vivre ensemble et à façonner son avenir, la démocratie et le respect font défaut, quelle société demain, quand ces jeunes seront des adultes ?

La faute à qui ? Aux parents qui laissent leur marmaille devenir des délinquants, impunément.