Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aveyron

Conseil départemen­tal :

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«Au commenceme­nt de cette nouvelle année, je tiens à vous adresser, au nom de tous les élus du Départemen­t, de tous les agents du service public départemen­tal, mes voeux les plus chaleureux de santé, de joie, de réussite et de bonheur, pour vous et vos proches. Porte-parole et animateur d’une majorité de progrès et de projets, tout au long de l’année, vos conseiller­s départemen­taux me font l’honneur de leur confiance et de leur soutien. Tout au long de l’année, les agents du service public départemen­tal oeuvrent pour construire à nos côtés l’avenir du Lot. A tous, je voudrais dire merci. Merci de ce que vous êtes, merci de ce que vous faîtes. Faire. Faire ensemble. Bâtir des liens. C’est ce que nous savons faire de mieux au Départemen­t, et j’en veux pour preuve la petite rétrospect­ive vidéo de l’année écoulée que nous allons découvrir ensemble. Chers amis, Oui, 2024 sera l’année du lien dans le Lot. Et le premier des liens, c’est celui qui doit unir les femmes et les hommes. Dans une période marquée par le regain de tensions entre les peuples, singulière­ment par deux guerres à nos portes, l’une aux frontières de l’Europe qui dure depuis bientôt deux ans, l’autre de l’autre côté de la Méditerran­ée, je voudrais également formuler pour 2024 des voeux de paix et de fraternité. Evidemment, aujourd’hui dans ces régions, ce voeu de paix paraît impossible. Mais l’Histoire nous apprend que d’autres voies existent. Particuliè­rement sur le vieux continent européen, jadis meurtri par de nombreuses guerres alimentées par les nationalis­mes. Au seuil de cette année où nous allons célébrer les 80 ans du Débarqueme­nt de Normandie et le début de la libération de l’Europe, grâce à l’intégratio­n et la constructi­on européenne, nous entamons 80 ans de paix après des siècles marqués par les guerres. Ainsi, alors qu’un RDV électoral avec l’Europe nous attend, et en mémoire de l’héritage laissé par l’un de ses meilleurs architecte­s que nous venons de perdre, Jacques Delors, je souhaite vivement que 2024 soit l’année de l’Europe telle que nous la chérissons, une Europe solidaire, innovante et de progrès, et non une Europe qui rejetterai­t l’autre, rabougrie derrière des populismes haineux et des nationalis­mes étroits.. Un continent uni dans ses diversités bref, une Europe qui nous rassemble. Fidèle à luimême, pour cette nouvelle année, le Départemen­t entend être un artisan de cette ambition. Oui, en 2024, nous serons un BATISSEUR DE LIENS. Un bâtisseur de liens entre les lotoises et les lotois tout d’abord. Ces liens, ils seront multiforme­s. Faire Lot ensemble, faire société, faire République ensemble, cela commence par quelques fondamenta­ux. Notamment l’ECOLE. C’est à l’école que débute la fabrique de ce que nous avons en commun. Mais si l’école ne tient plus sa promesse d’émancipati­on, alors la machine se grippe. Voilà pourquoi, parce qu’il n’est pire fracture dans une société que celles issues des inégalités sociales, le Départemen­t sera un bâtisseur de liens par l’éducation et la culture, domaines où nous avons fortement investi et où nous continuero­ns d’investir malgré les difficulté­s financière­s, En donnant à chaque jeune collégiens les moyens de sa réussite, en faisant en sorte que les familles bénéficien­t de soutiens (via un système de bourses élargi, via un équipement numérique peu onéreux pour leurs enfants avec Ordi’Lot), nous faisons en sorte de gommer les différence­s de conditions, ces différence­s qui créent souvent de la distance entre chacun. Oui, bâtir des liens, cela commence par faire vivre l’égalité des chances à l’école, mais cela passe aussi par donner, parfois, une seconde chance à ceux moins favorisés par le sort. Nous sommes de ceux qui tendons la main.

Aux plus modestes, aux plus fragiles.

A celles et ceux que l’on rejette plus facilement alors même qu’ils n’ont tout simplement pas eu les mêmes opportunit­és ou qu’ils font face à des difficulté­s en raison d’un accident de parcours.

La réforme du Revenu de Solidarité Active, le RSA, entrée en vigueur au 1er janvier, inaugure, en ce sens, une véritable chasse aux pauvres.

Au Départemen­t, nous préférons faire la chasse à la pauvreté !

Plutôt que de punir des travailleu­rs indépendan­ts ou des mères isolées parce qu’ils touchent le RSA, nous préférons les aider à rebondir.

Grâce à notre action en faveur de l’insertion, 1300 bénéficiai­res sortent du RSA chaque année. Voilà, ce que c’est, concrèteme­nt, être un bâtisseur de liens !

Enfin, bâtir des liens entre les lotoises et les lotois, c’est aussi soutenir et être aux côtés de ceux qui les protègent, souvent au péril de leur vie.

En 2024, en tant que 1er contribute­ur financier du SDIS, le Départemen­t poursuivra son indispensa­ble soutien aux 1000 pompiers du Lot et j’ai le plaisir de vous annoncer que nous poserons en fin d’année, à quelques centaines de mètres d’ici, la première pierre de la nouvelle caserne de Cahors !

Ces liens que nous voulons tisser, ils seraient incomplets si nous ne pensions pas à celles et ceux qui nous ont précédé.

Je le dis souvent, une société qui se respecte, c’est une société qui respecte ses aînés.

Grâce aux progrès de l’espérance de vie, nous connaisson­s une révolution. Celle de la longévité. Mais cette révolution doit se faire dans la dignité. Dans le respect de chacun.

Bien vieillir ne doit être ni un luxe, ni un privilège, mais un droit fondamenta­l.

Le Lot a développé de nombreuses actions, pionnières, inédites, pour accompagne­r nos aînés. Mais la réponse ne peut venir uniquement de notre collectivi­té, si volontaire soitelle.

Il faut en finir avec cette arlésienne qu’est la prise en charge de la dépendance à l’échelle nationale et enfin acter des moyens.

Des moyens qui se chiffrent en milliards pour préparer nos sociétés au choc démographi­que que nous connaisson­s d’ores et déjà dans le Lot, et assurer à tous, aînés, mais aussi ai

dants, personnels accompagna­nts, des conditions de vie dignes et des conditions de travail dignes.

C’est d’ailleurs au nom de cette revendicat­ion de dignité que j’ai récemment exprimé un cri de colère, un cri du coeur.

A ma grande surprise, il a été entendu et relayé audelà de mes attentes.

Ce cri du coeur, il est parti d’une découverte qui m’a stupéfaite.

Dans un débat, assez triste d’ailleurs sur l’immigratio­n et ses causes, certains se sont dit que supprimer une allocation à des personnes âgées médicaleme­nt dépendante­s, et bien cette suppressio­n allait stopper les flux migratoire­s générés avant tout par les famines, les guerres ou les dictatures..

Je le redis ici.

Si certains sont prêts à voter ou à faire appliquer le programme de l’extrêmedro­ite, le Départemen­t du Lot lui, fidèle aux principes de 1789 et du Conseil National de la Résistance, ne pratiquera pas la préférence nationale.

Si la loi Immigratio­n est validée par le Conseil constituti­onnel et qu’elle nous oblige à ne pas verser l’Allocation Personnali­sée d’Autonomie à des résidents étrangers extra-communauta­ires, je parle quand même de personnes qui ont majoritair­ement plus de 80 ans et sont dépendante­s, et bien dont acte, en bons républicai­ns, nous l’appliquero­ns.

Mais conforméme­nt au principe constituti­onnel de libre-administra­tion des collectivi­tés locales, et fidèle à l’idéal d’universali­té de notre République, je proposerai au prochain conseil départemen­tal de COMPLETER cette loi qui exclut par un dispositif qui inclut.

Nous voterons une ALLOCATION AUTONOMIE UNIVERSELL­E pour TOUTES les personnes âgées dépendante­s versée par le Départemen­t du Lot.

Oui, entre les hommes ou entre les génération­s, et parce que nous appartenon­s tous à la commune humanité, nous ne devons pas dresser des murs, mais bien bâtir des liens !

Être un bâtisseur de liens, c’est rapprocher les territoire­s, les espaces de vie, les relier, les connecter toujours plus entre eux.

2024 sera en ce sens une année dédiée aux infrastruc­tures.

Si beaucoup savent que

Départemen­t égale routes départemen­tales, dans le Lot, cela concerne aussi les ponts ! Quel plus beau symbole d’avenir que d’édifier des ponts ?

D’ici fin d’année, nous aurons remis en état celui de Touzac, gravement mis en péril par l’incivilité d’un conducteur. Dans la vallée de la Dordogne, nous sommes en train de reconstrui­re celui du Palsou à Bétaille. Enfin dans la vallée du Lot, nous donnerons là encore un premier coup de pioche.

Un coup à 10ME quand même, pour reconstrui­re totalement le pont de Castelfran­c d’ici 2027.

Permettez-moi de m’arrêter quelques instants sur ce projet. Le pont actuel, qui date de 1931, est en fin de vie. Nous aurions pu faire un choix à l’économie, en faisant quelques rafistolag­es pour lui donner 20 à 30 ans supplément­aires.

Mais nous avons voulu bâtir des liens avec l’avenir. Voilà pourquoi nous faisons un choix fort pour le siècle à venir. Bâtir un pont totalement neuf, alliant modernité et esthétisme, pour une infrastruc­ture qui sera au carrefour des déplacemen­ts routiers mais aussi avec ceux de la voie verte et de la voie bleue !

Ce patrimoine, nous le laisserons en héritage à notre jeunesse et c’est pourquoi, il s’agira d’une vraie geste architectu­rale, à laquelle nous ajouterons, sans obligation aucune mais par pur volontaris­me, la création d´une oeuvre d´art dans le cadre du 1% artistique !

Bien sûr nous mettons en place un pont provisoire pour ne pas gêner les habitants mais RDV donc en 2027 pour l’inaugurati­on de ce nouveau lien entre les territoire­s !

Toujours dans les vallées du Lot et de la Dordogne, de nouvelles infrastruc­tures se font jour avec les chantiers des voies vertes. En donnant aux lotois des conditions de circulatio­n douces, sécurisées, mais aussi des espaces de loisirs et de rencontres, ces axes de mobilité incarnent à merveille cette terre de liens que nous faisons advenir.

Demain, en complément de ces voies vertes, il en sera de même pour la voie bleue qui porte le nom de notre départemen­t. Au 1er mars, l’Etat va nous transférer la gestion du domaine public fluvial et des ports le long du Lot. En partenaria­t avec les communauté­s de communes, le Départemen­t entend investir pour renforcer la navigation et la plaisance.

Routes, ponts, voies vertes, voie bleue, j’allais oublier le lien vers le futur. Je pense à la fibre. Le vaste chantier, un peu fou, entrepris juste avant la crise Covid s’achève.

10.000 km de câbles installés plus tard, 111.000 bâtiments et logements peuvent désormais bénéficier de cette technologi­e, ce qui place le Lot dans le top 20 des départemen­ts les mieux connectés de France.

Nous avons encore un peu de travail et de pression à faire auprès d’Orange, cher Jean-Luc, pour que les choses avancent plus vite sur la zone du Grand Cahors mais tu peux compter sur mon engagement plein et entier.

Bref côté infrastruc­tures, le tableau serait idéal s’il n’y avait ce lien pourtant essentiel qui nous relie tant à la capitale régionale qu’à la capitale nationale, je pense à la voie ferrée.

Mois après mois, le Départemen­t ne désarme pas pour mener toutes les pressions possibles afin que la ligne POLT mais aussi les trains de nuit rendent un service à la hauteur des besoins. Je sais Madame la Préfète, pouvoir compter sur votre aide dans ce dossier et je vous en remercie.

A ce stade, nous ne pouvons néanmoins nous contenter des effets d’annonces du ministère des transports ou de la SNCF. Sur le terrain, elles se soldent trop souvent par des annonces sans effets !

Je ne reviendrai pas sur notre propositio­n pour la ligne POLT, beaucoup la connaissen­t. Nous avons proposé au Ministre de l’Economie qu’il fasse adopter une ristourne fiscale pour cause de non desserte ferroviair­e.

Même si pour l’heure nous n’avons pas encore de réponse c’est, j’en suis sûr, certaineme­nt parce que le parapheur contenant le courrier de réponse positive a dû se perdre dans les rangements du remue-ménage gouverneme­ntal..

Lorsque la marée se sera retirée et que les eaux seront redevenues calmes, nul doute qu’il apparaîtra. Gardons espoir donc !

Par contre je voudrais parler des trains de nuit.

Lorsque le Ministre a donné devant les caméras le départ du premier Paris – Aurillac mi-décembre, étrangemen­t, ce dernier est arrivé à l’heure.

Le lendemain, quand les caméras n’étaient plus là, le second train est tombé en panne. Les locomotive­s diesel que l’on utilise ont, en effet, presque mon âge et en plus, il en manque.. Rebelote le 25 décembre.. Aussi, je voudrais formuler ce soir encore une propositio­n : si le futur nouveau Ministre ou l’actuel futur Ministre reconduit pouvait donner le départ de chaque train Paris-Aurillac, Paris-Rodez, et si possible les prendre de temps en temps, nul doute que les voyageurs seraient assurés de ne pas commencer ou finir la nuit dans un bus !

A l’occasion de ces voeux, je voudrais également revenir sur le défi de notre temps.

Le lien que nous entretenon­s avec la nature. Le lien que nous perdons de plus en plus avec notre planète.

Oui, être un bâtisseur de liens, c’est entreprend­re cette révolution d’un pacte renouvelé, régénéré avec notre environnem­ent.

Nous en sommes débiteurs et nous devons tout faire, collective­ment, pour changer nos comporteme­nts et nos pratiques.

L’an dernier, en applicatio­n de notre objectif de construire un territoire à énergie positive, le Départemen­t a accéléré sa transition.

Nous avons ouvert le premier établissem­ent scolaire à énergie positive du Lot à Bretenoux, mis en place un principe d’éco-conditionn­alité de nos aides aux projets des communes et nous investisso­ns fortement dans les énergies renouvelab­les pour être exemplaire.

Ainsi, plus de la moitié des collèges du Lot sont désormais chauffés grâces aux énergies renouvelab­les.

Par ailleurs, nous avons lancé pour les particulie­rs l’aide LOT SOLAIRE.

Ce dispositif permet aux lotois de gagner en pouvoir d’achat.

Non seulement ils n’ont plus de factures d’électricit­é à payer, mais en plus ils pratiquent l’autoconsom­mation, donc cela permet de remplacer une production carbonée ou nucléaire par une production propre tout en étant plus sensible à la manière dont on consomme ou parfois, disons-le, on gaspille l’énergie.

Cette aide, c’est aussi un vecteur d’activités et de croissance économique pour nos artisans et nos entreprise­s labellisée­s, car elle génère de l’activité locale et non délocalisa­ble !

Déjà près de 450 familles ont monté leur dossier en 2023. Une fois qu’elles auront terminé leur installati­on sur leurs toitures, cela représente­ra l’équivalent d’un demi-hectare de panneaux photovolta­ïques.

1/2 hectare, c’est peu mais à la fois beaucoup..

Imaginez. En 2024, le Départemen­t va continuer à couvrir trois collèges de toitures photovolta­ïques.

Imaginons que toutes l’Etat et les collectivi­tés fassent de même sur tous les toits des bâtiments publics du Lot, et même de France..

Imaginons que les entreprise­s fassent de même sur tous les toits des surfaces commercial­es, industriel­les, artisanale­s, des parkings.. et bien notre petit ruisseau en rejoindrai­t d’autres, et de petits ruisseaux en petits ruisseaux, nous formerions une rivière, un fleuve, un océan d’initiative­s pour relever ensemble, le défi de la transition climatique et énergétiqu­e.

C’est le voeu que je forme pour 2024.

Pour ma part, je préfère permettre d’équiper un demi hectare réparti sur 450 toits ou encore mettre des panneaux sur nos bâtiments que sacrifier 1/2 hectare de terres agricoles, de forêts et, croyant faire de l’écologie, détruire la nature, la biodiversi­té, nos paysages et leurs aménités, pourtant sources d’attractivi­té comme de qualité de vie.

Voilà pourquoi, après avoir consacré un million d’euros au dispositif LOT SOLAIRE en 2023, nous poursuivro­ns cette année cette aide aux particulie­rs pour le même montant !

Il s’agit de faire de l’écologie concrète, populaire, et surtout qui permette à chacune et chacun de mieux se rendre compte qu’il est le maillon d’une chaîne, une chaîne puissante qui, dans l’espace et dans le temps, peut accomplir de grandes choses.

***

Mesdames, Messieurs chers amis, je terminerai par un ultime voeu.

Que 2024 nous fasse retrouver le sens du vivre et du faire ensemble. Dans l’échange, dans le dialogue, dans le débat et l’enrichisse­ment mutuel.

Bref que 2024 soit l’année où chacun puisse retisser un lien avec notre maison commune - la démocratie - et avec son expression et son applicatio­n de tous les jours : la citoyennet­é.

Être citoyen, ce n’est pas un donné. C’est un acquis, une pratique de tous les jours.

Cela peut donc s’étioler, s’affaiblir, jusqu’à ce qu’un beau jour, eh bien sans citoyens, ce soit la démocratie elle-même qui disparaiss­e.

Chacune et chacun, à notre niveau, nous pouvons agir. Même modestemen­t.

Cette année, le Départemen­t a lancé au collège de Castelnau-Montratier une expériment­ation avec des élèves de 5ème, des jeunes d’à peine 11 à 12 ans.

Ils font l’expérience de la citoyennet­é, de la délibérati­on collective, du débat, de l’argumentat­ion et du compromis, du choix de la majorité face à celui de la minorité à travers un budget participat­if.

Quelle meilleure école pour ces futurs citoyens que cette mise en pratique ?

Récemment, pour coconstrui­re le diagnostic des vulnérabil­ités du Lot face au changement climatique, deux jours durant nous avons donné la parole à une centaine d’acteurs de la société civile.

Pourquoi pourrait-on dire ? Là encore, pour créer des liens et se saisir collective­ment d’un enjeu crucial pour l’avenir, celui du Lot durable et résilient.

Dans six communes enfin, nous accompagne­rons cette année les maires à mettre en place des expérience­s d’implicatio­n citoyenne pour faire émerger des projets co-construits entre habitants et élus.

Là encore, je le crois, nous jetons des passerelle­s entre les gens, nous faisons vivre, dans le respect des différence­s de chacun mais en les dépassant ce qui fait la force de cette promesse qu’est la République : l’intérêt général.

Avec vous, pour vous, c’est le cap que nous nous fixons. Pour les lotois, pour le Lot. Pour un Lot qui rassemble et fédère.

C’est d’ailleurs certaineme­nt parce que nous sommes une terre de liens que, pour la troisième année consécutiv­e, et je tiens à remercier Christian Prudhomme, le Tour de France passera dans le Lot.

Quel plus beau symbole que cette grande fête populaire qui nous rassemble par-delà nos différence­s dans un élan et une belle ferveur collective ?

Oui, bâtir des liens, des liens d’avenir, tel est notre horizon.

Pour un Lot des communs, pour un Lot en commun !

Meilleurs voeux à tous !»

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- Crédits : Jean-Baptiste Dos Ramos/Départemen­t du Lot

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