Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aveyron
L’Aveyron célèbre la Journée mondiale de la maladie de Parkinson
Conférences, débats et animations prochainement à Olemps
À l’occasion de la Journée mondiale de la maladie de Parkinson, un événement d’information, de sensibilisation et de partage ouvert à tous se tiendra mercredi 24 avril de 9h à 16h30, rue des Peyrières (salle 7/77), à Olemps.
En matinée, le public pourra assister à deux conférences. Le médecin neurologue Francisco Rioboo De Larriva traitera des symptômes non moteurs de la maladie de Parkinson, tandis que l’équipe de rééducation du service de neurologie du centre hospitalier de Rodez (ergothé
rapeute, kinésithérapeute, enseignant d’activité physique adaptée) développera le thème des bienfaits de l’activité physique.
L’après-midi, pour se mettre en mouvement, les participants pourront s’exercer aux ateliers avec le groupe associatif Siel Bleu, le club de ping-pong d’Olemps, Christian Cabantous et autres professionnels qui proposeront des exercices, des parcours et des jeux permettant de travailler l’équilibre, le renforcement musculaire, les postures, la coordination, en somme tout ce qu’il faut
préserver tout au long de la maladie.
Les personnes qui le souhaitent pourront réaliser une fresque collaborative avec différentes techniques de dessin et de peinture sur le thème : « Parkinson dans 10 ans ». Le dessin et la peinture sont utilisés comme moyen d’expression reflétant le vécu de la maladie, mais aussi pour le travail de la motricité fine
qui peut être ainsi diminuée.
Des stands d’informations, tel celui du Comité 12, seront animés, entre autres, par une diététicienne et une orthophoniste de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) de l’Aveyron.
La journée d’Olemps est ouverte à tous, malades, aidants, professionnels du
soin et de l’accompagnement, ainsi qu’à toute personne en recherche d’informations sur cette maladie complexe.
Contact : comite12@franceparkinson.fr / 07 81 26 62 82 / www.franceparkinson.fr
À lire par ailleurs le témoignage d’Evelyne Balichard.