Le Petit Journal - L'hebdo local du Gers
Une commémoration avec de l’allure
Cette commémoration s’est déroulée avec la participation de l’Harmonie musicale dirigée par P. Cruguet, des sapeurs-pompiers d’Eauze aux ordres du tout frais émoulu chef de centre qu’est Pascal Roblique, la présence de l’adjudant chef Daubas, commandant la brigade de gendarmerie nationale d’Eauze, des anciens combattants, des membres du conseil municipal et d’un public fourni.
Après le dépôt de la gerbe par le maire Michel Gabas accompagné de F. Sanz, représentant Edouard Minguez absent, et des membres du conseil municipal jeunes, c’était le discours. Mais ce dernier changeait des habituels discours car M. Gabas a rappelé l’Histoire du 14 juillet 1789 mais l’a raccordé à la jeunesse actuelle, héritière d’un des plus grands Français que l’Histoire connaît, le Général
De Gaulle qui a su faire renaître l’ESPOIR alors que le pays semblait être réduit au silence et à la disparition.
Appel du maire d’Eauze envers cette jeunesse que d’aucuns décrient mais qui sont les descendants de ces jeunes gens qui n’hésitèrent pas à braver l’occupant lors de la commémoration du 11 novembre 1940 ; ils sont les fils ou les frères de ces sapeurs pompiers qui n’hésitent pas à risquer leur vie pour honorer leur devise «courage et dévouement». Puis ce fut le défilé des sapeurs pompiers, des jeunes sapeurs pompiers sous la conduite de «Berto», du responsable cynophile Kevin Blaya, du responsable aquatique Loic Lemonnier puis des véhicules du SDIS survolés par des avions «Rafale» de la base de Mont de Marsan comme un signe démontrant que la France née après le 14 juillet est toujours présente.
Une maison de santé, c’est parfait mais... !
La municipalité d’Eauze, sous la houlette du maire Michel Gabas, s’est dotée d’une maison de santé. Puis ce fut le recrutement de médecins venus de Lorraine et de la région parisienne, ce qui est fort bien, oh oui. Seulement, un Elusate désireux d’appeler le secrétariat de ladite maison de santé a téléphoné en vain à 9 reprises n’ayant pour seule réponse qu’un disque.
Il faut dire que la secrétaire de service, en ce lundi 18 juillet, était débordée et c’est là que le bât blesse, car surtout en début de semaine, il faudrait que cette secrétaire ne soit pas seule à répondre aux patients qui sont dans la salle et prendre les appels téléphoniques. Deuxièmement il serait bon que les médecins présents puissent être joignables directement sans passer par le biais du secrétariat.
Le fameux numérus clausus a restreint le nombre de médecins. Le président actuel a supprimé ce numerus clausus en septembre 2019 mais l’arrêté n’est paru qu’au mois de septembre 2021 !