Le Petit Journal - L'hebdo local du Gers
Actrice, réalisatrice et férue de Sciences, Julie Gayet préside le Jury
Le festival d’Astronomie bat son plein pour cette 32e édition, avec un public toujours aussi passionné. Bruno Monflier, le maître d’oeuvre de ce rendez-vous scientifique ne cesse d’innover. Une de ses nouveautés consiste à avoir mis sur pied un rendez-vous cinématographique intitulé « Le festival du film de Fleurance ». L’objectif de ce festival est surtout de mettre la (les) Science (s) à la portée de tout public. Le grand coup de com’ sera d’avoir proposé à Julie Gayet d’être la présidente du Jury de ce « Festival du Film de Fleurance » qui, à plusieurs titres, l’a accepté volontiers: gersoise d’adoption, Julie Gayet connaît le festival d’Astronomie ; d’autre part et par son côté familial, elle a baigné dans un univers scientifique de haut niveau; ensuite, actrice et réalisatrice, elle connaît bien ce milieu de la pellicule et enfin elle a participé à plusieurs jurys du cinéma.
Pour présenter les films en lice, c’est Quentin Lazzarotto qui en parlera avec beaucoup de… science : «Ce Festival est un lieu de partage qui « fait tomber les murs » : le film scientifique est quelque chose de prisé et l’idée de le mettre à la portée de tous est très judicieuse. D’autant que ces films seront suivis par des commentaires avec des réalisateurs et des scientifiques. La liste des films retenus a été sélectionnée à partir d’une quarantaine de films proposés à un pool de jeunes science».
A la suite des projections, 2 Prix seront remis ce vendredi :
- le 1er Prix le « Grand Prix du festival du Film de Fleurance » ;
- un 2e Prix qui portera le nom d’une scientifique de renom : le « Prix Azar Khalatbari » et dont le film délivrera son message de «poésie de la science et son étudiants en influence dans nos vies ».
« Après cette période de crise sanitaire, de ré-entendre les scientifiques et d’avoir des échanges avec l’opportunité de l’ouvrir aux jeunes, ces films-documents permettent de découvrir des domaines que nous ne percevons pas très bien, de monter un monde que l’on ne voit pas et qui souvent interroge... » souligne Julie Gayet.