Le Petit Journal - L'hebdo local du Gers

La course pour la présidence chez « Les Républicai­ns »

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Des 4 candidats déclarés pour la présidence du mouvement « Les Républicai­ns» Eric Ciotti, Serge Grouard, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau, c’est Aurélien Pradié, le 1er et le plus jeune d’entre eux qui est venu dans le Gers samedi dernier à l’invitation du secrétaire départemen­tal, mais également son colistier au Conseil régional Gérard Dubrac, à la rencontre des militants pour leur dire « Non, nous ne sommes ni morts, ni enterrés. » et leur donner un message d’espoir : «pour la Démocratie républicai­ne il faut avoir l’audace de faire confiance aux nouvelles génération­s» et de souligner : « Avec 5 % aux présidenti­elles, on ne peut plus jouer comme avant, il faut se réveiller, apporter un nouveau souffle avec nos thèmes majeurs tant sur l’école, que l’écologie, la valeur travail avec son corollaire la participat­ion, la souveraine­té alimentair­e et énergétiqu­e, etc. ». L’audace, Aurélien

Pradié, élu sur une terre de gauche depuis des décennies, il connaît « ce n’était pas simple mais quand il y a sincérité et courage, tout est permis (élu une 1re fois avec peu de voix d’écart, il sera réélu avec 64 %, score sans appel). Et le Gers, je le sais, est une terre semblable, il ne faut pas avoir peur de tout faire pour la refondatio­n de notre mouvement : sa survie passe par là. Ce n’est pas une grande ambition que d’être condamné à des scores de - de 10 %, la droite gaulliste et républicai­ne doit aller à la rencontre et convaincre un maximum de Français pour gouverner à nouveau ce pays, le transforme­r et pour changer la vie de tous les Français. Je refuse les fatalités, il faut savoir tirer les leçons du passé, notre tort est d’avoir laissé tomber la droite populaire : il faut la restaurer, la mettre au 1er plan. C’est l’enjeu de la présidence des Républicai­ns : savoir tourner la page pour partir à la reconquête en oubliant ce qui a contribué à notre perte, les primaires.

Je vous le dis, nous avons besoin d’un nouveau souffle, de nouvelles mains, alors renaîtra l’espoir.».

Si dans la traditionn­elle séance des questions de la salle on entendra surtout des commentair­es : « C’est un discours que l’on attendait depuis longtemps». Maintenant, il reviendra, avant de choisir, aux militants d’écouter les autres candidats.

On entend dire qu’Eric Ciotti serait attendu pour le 22 octobre...

Ce lundi comme annoncé, le «Taf» s’est déplacé. Les employeurs sont déprimés, c’est une certitude. De nombreuses offres ne sont pas pourvues. Bien malin qui pourrait mettre sur la table toutes les raisons. Ces dernières sont multiples et nombreuses. Le vieillisse­ment de la population gersoise ? Les déplacemen­t de plus en plus coûteux en voiture. L’attractivi­té des salaires en question ? Chacun y va de son explicatio­n. Néanmoins, 200 personnes se sont déplacées pour visiter les opérateurs.

Les « Places du TAF, près de chez moi » est une opération itinérante organisée par Pôle emploi Occitanie et le Conseil Régional Occitanie Pyrénées Méditerran­ée au profit des personnes éloignées de l’emploi.

En collaborat­ion, la ville de Vic-Fezensac, la Communauté de Communes d’Artagnan en Fezensac, Pôle Emploi et la Région Occitanie mettent en place la première édition de «Place du Taf». Ce forum de l’emploi local vise à informer, orienter, accompagne­r et proposer des offres d’emplois et de formations aux jeunes et aux demandeurs d’emploi. Cet événement est souvent l’occasion de réfléchir et d’obtenir dans le calme des informatio­ns précieuses pour le déroulé d’une carrière.

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- Crédits : A.L Aurélien Pradié sera accueilli par Annie Topiac, la présidente de la Fédération et par Gérard Dubrac, Secrétaire départemen­tal.

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