Le Petit Journal - L'hebdo local du Lot

Des interventi­ons plus difficiles

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Les agents ont affaire à de plus en plus de gens armés, de bandes organisées travaillen­t en réseaux. Il y a les voqui d’un côté, et, de l’autre, les releurs chargés d’écouler la marchancel­eurs dise.

Avant , c’étaient les mêmes qui se chargeaien­t de tout et ça prenait plus de temps. Désormais, le rythme est plus soutenu et les protabeauc­oup sont prêts à tout pour aligoniste­s menter et protéger leur busines. coup ces délinquant­s font souDu vent appel à des adolescent­s pour certains coups, que l’excommettr­e cuse de minorité protège. Parfois des jeunes mineurs isolés, qui sont à la rue. Ils ont parfois connu la guerre et la violence ne les intimide pas, dans certaines villes le vol de portables est leur spécialité et ils n’ont pas froid aux yeux.

Ces dernières années, les armes à feu - parfois des armes automatiqu­es ou des ! - ont fait leur appagrenad­es rition certains quartiers. Le dédans partement est encore épargnée par ce phénomène mais dans les métropoles toulousain­es et montpeliér­aine ce n’est plus cas, de toute façon les déle linquants n’hésitent pas à voyager pour faire leur business. Enprolifér­er core que Perpignan a déjà fait la une de la presse suite au damentelle­ment de trafic d’armes lourdes comme en 2014 ou 430 armes de guerre des pays l'Est avaient été saisies et 36 perde sonnes arrêtées.

En mai, un homme avait braqué une arme sur la foule avant de poursuivre un jeune homme au milieu des barres Il s’agissait d’un pistod’immeubles. let automatiqu­e 9 mm.

Dès lors il est compréhens­ible que policiers craignent parfois d’interles dans certains secteurs où ils savenir que tout ça circule.

Alors il y a toujours les gilets parevent balles mais ils ne sont jamais à l’abri d’un projectile. autant, il n’existe pas de quarPour où la police ne va plus. Ils intertiers viennent partout mais pas de la même manière.

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