Le Petit Journal - L'hebdo local du Lot

Trop de flou dans la contrepart­ie au RSA

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C’est le départemen­t du Haut-Rhin qui a initié l’idée d’une contrepart­ie au bénéficiai­re du RSA, sous forme de bénévolat. Elle a été reprise par le Premier ministre qui a placé la partie insertion du RSA dans le Grand débat.

« Mais qui va gérer la contrepart­ie aux aides sociales si elle se met en place ?», les départemen­ts se disent alors que la ministre du Travail a estimait qu’il ne fallait pas de «contrepart­ie punitive imposée aux bénéficiai­res de minima sociaux. On peut proposer mais pas soumettre».

La France compte 7 millions taires aux minias sociaux dont 3,3 millions de bénéficiai­res du RSA. Et parmi eux, quelques 700 000 ne bénéficien­t d’aucun suivi.

L’État va donc attribuer 135 millions d'euros aux départemen­ts qui s'engagent sur des objectifs et des résultats en tière de lutte contre la notampauvr­eté, ment dans l'accompagne­ment des bénéficiai­res du RSA et le suivi des jeunes qui sortent de l'aide sociale à l'enfance.

Frédéric Bierry (LR), président du conseil départemen­tal du Bas-Rhin et teur d'un rapport sur le RSA, a rappelé qu'il fallait impérative­ment le déréduire lai entre l'inscriptio­n au RSA et une mière orientatio­n (en moyenne 94 jours en 2017).

Une "garantie d'activité" va être mise en oeuvre par Pôle emploi et les ments avec un accompagne­ment de 300.000 allocatair­es du RSA par an à rizon 2022.

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