Culte
C’est en 1957 que Giuseppe Ratti, fondateur de la marque, crée la 649 à l’intention des traminots turinois. Pour les protéger de la poussière lorsqu’ils conduisent leur tramway, il conçoit une monture largement dimensionnée, caractérisée par un pont flexible et par des charnières rehaussées d’une flèche. Le modèle démarre gentiment sa carrière jusqu’à ce que Marcello Mastroianni le porte dans le film « Divorce à l’italienne », en 1961. Le succès fut immédiat. Steve McQueen impose ensuite les 714 (une 649 à branches pliables) sur le tournage de « L’affaire Thomas Crown ». Le succès planétaire du long-métrage achève de faire des Persol le must avec lequel il convient de s’afficher. www.persol.com. Les secondes, au look inspiré par le glamour hollywoodien, virent le jour en 1952. Les ventes de ces deux modèles décollèrent grâce aux nombreuses stars – de James Dean à Audrey Hepburn en passant par Michael Jackson, Tom Cruise ou Robert De Niro – qui les portèrent à la ville comme à l’écran. www.ray-ban.com. lunettes dans une roulotte. Cinq générations plus tard, la famille est toujours aux commandes de cette institution célèbre pour ses modèles intemporels. Chaque paire est fabriquée dans les règles de l’art et taillée dans les plus beaux matériaux. Pour son centenaire, la griffe a imaginé des modèles bimatières qui font la part belle aux essences de bois. www.moscot.com.