Arménie: pourquoi Hollande a pris la parole
Le chef de l’Etat n’avait pas prévu d’interpeller les Turcs sur le terme de génocide. Car, à l’origine, il ne devait pas prendre la parole à Erevan le 4 avril pour le centenaire des massacres perpétrés par les Turcs. C’est en apprenant que Vladimir Poutine, soutien notoire des Azéris, ennemis des Arméniens, prononcerait un discours que le président français a demandé lui aussi à prendre la parole.