PARLEZVOUS LE MACRON ?

Le président a animé un débat avec des Français sur la réforme des retraites, le 3 octobre, à Rodez. Saurez-vous lui attribuer les mots qu’il a réellement employés ?

« La crise actuelle à l’hôpital et aux urgences, c’est une crise qui vient de loin, qui vient de vingt ans T de Gaulois réfractaires au changement, T de serrage de boulons, T d’austérité. »* « Partir plus tôt à la retraite, cela veut dire que soit vous cotisez plus quand vous T traversez la rue pour trouver un boulot, T bossez, T travaillez, (…) soit vos prestations baisseront quand vous serez retraité. »

« Le prélèvement à la source, on l’a fait parce que, pour beaucoup de gens, le fisc T faisait de la gratte, T mettait un pognon de dingue, T exagérait. » « Quand je vois des simulations sur les futures pensions qui sont faites ici où là T c’est de la pipe complète, T c’est une connerie sans nom, T c’est tout à fait

fantaisiste. » « Quand vous avez à Saint-Avold, au Havre ou ailleurs des milliers de salariés à qui on dit : on veut réduire les émissions de gaz, les T gens, T mecs, T fainéants, pas de chance, on ferme l’usine. »

« On a interdit toutes les nouvelles explorations et exploitations d’hydrocarbures sur notre territoire. Moi, je n’avais personne avec moi pour venir expliquer aux Guyanais : “Ah les T amis, T copains, T kwassa kwassa, tous vos voisins ont des puits de pétrole mais vous, fini”. »

« Dans notre pays, on a une tendance à traiter les élus de tous pourris. Ce n’est pas bon pour la République. Toutes les professions ont des gens qui se comportent mal, des T tordus, T des gens qui ne sont rien, T des indélicats. C’est l’âme humaine. » « Et quand, sur le salaire de fin de carrière des professeurs, je vous dis que c’est autour de 1 100-1 200 euros, je pense que je ne suis pas complètement T déconnant,

T incompréhensible, T ignorant. » * Cochez la réponse qui vous semble juste.