« Il faut que la radicalisation soit un motif de licenciement.
»
Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-deFrance, estimant qu’il fallait inscrire dans la loi une liste d’«incompatibilités professionnelles» susceptibles de déclencher un licenciement, après l’attaque à la préfecture de police de Paris (Europe 1,
7 octobre).