Pécresse choisit son « camp »
Valérie Pécresse, qui présentait ses voeux aux forces de sécurité le 23 janvier, a déridé Didier Lallement, le préfet de police. Elle a récusé le terme de « violences policières » lors des manifestations puis a conclu par un tonitruant « Monsieur le préfet, nous sommes dans le même camp ! ». Le préfet a esquissé un de ses rares sourires. Il avait créé une polémique, il y a quelques semaines, en répondant à une femme soutenant les Gilets jaunes :
« Madame, nous ne sommes pas dans le même camp ! »